Nul ne peut se prévaloir de sa propre turpitude

La vie est un « je » entre soi et soi-même.

Etre travailleur de lumière (l’affirmer) et traiter quelqu’un de  « personne abjecte » … citation du net.. ça interpelle forcément notre vibration et  le sens de l’analyse.

Je n’aurai jamais pu qualifier quiconque ainsi en me disant « travailleur de lumière »… encore une fois attention à vos certitudes, si vos actes et propos sont dans le bas astral, le nuisible, le jugement, la frustration etc… à coup sur nous n’avons pas le même opérateur d’énergie 😉

Il fait bon vivre sous ma lumière d’amour et de bienveillance…
Gratitude infinie à la source divine ?

Ai-je une mauvaise interprétation en analysant les choses ainsi ? voyons ensemble…

ETRE une « personne abjecte » correspond à celui qui  agit ainsi et choisit d’adopter ces attitudes : ignobles, sordides, infames, vils…

Celui qui lève le voile et  met en « lumière » cette âme égarée – qui s’auto-inflige de la négativité de l’esprit et vibratoire–  n’est pas responsable de ce qui est dévoilé ?.

Nous avons tous conscience d’avoir une part d’ombre en nous nécessaire à la lumière pour rayonner de 1.000 feux. Comme le yin et le yang, recto/verso  etc.. la dualité fait partie du tout et il faut l’accepter comme une présence nécessaire.

L’ombre par ses actions qui nous heurtent nous fait réfléchir et souscrire au chemin que l’on souhaite prendre : la lumière ou l’ombre ? .

• Le chemin de lumière est fastidieux, demande du travail sur soi, la volonté de grandir, l’envie de simplement vibrer d’amour et de partage, accepter de chuter-régresser pour recommencer…
• Pour le voile de l’obscurantisme utilisé par le bas astral : facile d’y succomber, aucun effort, sauf à se laisser glisser et utiliser les pulsions les plus basses et primaires.
  C’est un fléau pour les âmes qui demeurent plongées dans des considérations peu évoluées et se satisfont du « médiocre » et parfois du « minable »- je précise : 2 notions hors jugement de valeur, mais 2 notions qui démontrent qu’il faut vouloir du bon voir le meilleur pour « soi même » et ne l’attendre de quiconque.

Aussi chères âmes en errance, nul jugement ne vous est adressé, acceptez les mains tendues qui vous permettront de lever ce voile obscure qui vous garde dans la pénombre et vous fait persister dans les énergies basses.
En en sortant vous pourrez à votre tour avec bonheur tendre la main à d’autres… réellement, pas dans l’illusion de le faire.

La source divine coule en nous, la lumière argentée scintillante la fait vibrer comme pour nous rappeler que nous sommes vivants, expérimentants 😉

« Savoir se pardonner » – surtout si on a écrit sur le sujet !!!  : prêcher est une chose, l’appliquer voir se l’appliquer est indispensable…

En 2017, un travailleur de lumière ne peut plus être dans « fais ce que je te dis mais ne fais pas ce que je fais ! » – c’est un non sens intellectuel sans parler de la portée spirituelle …l’égo spirituel est à juguler.

Enfin , n’oublions pas que l’autre fait partie du tout ; selon où on se positionne accepter de voir les autres comme un miroir, nous aide à regarder en nous intimement.

Le miroir de l’âme est parfois terrible à regarder pour celui qui tourne le dos à la lumière par l’illusion du bas astral, mais j’ai la conviction que dans les situations les plus dramatiques : la lumière est toujours là –  elle est indéniablement toujours la meilleure option. Tout nous fait travailler pour ne jamais oublier ce que nous « refusons » désormais.

La lumière reste en veille même au cœur de ceux qui touchent le fond du bas astral, le temps du réveil, du sursaut.

Amour à tout être de lumière en apprentissage ?