@abellinasaintjuste 13/8/2019
Bonjour à tous
Oui je sais le titre de cette newsletter peut intriguer …. mais avant tout j’ai besoin de vous expliquer comment je suis arrivée à ces informations suite à différentes canalisations qui n’avaient ni queue ni tête.
Vous le savez, nous n’avons aucun « contrôle » sur une canalisation ; les éléments arrivent puis à nous de les comprendre… il m’aura fallu une dizaine de jours pour relier les petites brides et comprendre le lien entre des éléments de canalisation qui n’avaient rien à voir entre eux :
1/-l’affaire de Steve (la ville de Nantes )
2/-la révolution Française
3/-violence et indignité des bleus
4/-peau humaine
J’imagine votre tête à essayer de chercher un lien entre ces 4 éléments … dur dur hein !!…..ahahahahahah
Notez ces 4 éléments reçus et vous pourrez les retrouver dans mon partage ci-dessous tout y est !
Et ouiiiiiiii moi aussi en recevant ces éléments complètement décousus ; je n’ai pas compris le sens -ni même les liens entre ces éléments qui m’ont été donné.
Alors maintenant que j’ai pu regrouper ce puzzle canalisé , je trépigne de partager avec vous ces données historiques qui prennent tout leur sens -ici et maintenant – des données qui à titre personnel je ne connaissais pas.
Particulièrement agacée ces derniers jours de ne pouvoir faire le lien entre ces éléments que je ressentais pourtant comme très important…. l’univers a mis « comme par hasard » sur mon chemin un lien où tout s’est enchevêtré…
Le plus fou dans tout cela c’est que j’avais en tête » les droits de l’homme comme une fumisterie inscrite dans la mémoire collective » une illusion vendue par les marchands du temple…
Je vous laisse prendre connaissance de cette découverte je vous souhaite de comprendre la portée vibratoire et symbolique des éléments partagés.
Personnellement j’ai vu et compris le message : le passage en 5ème Dimension, les êtres se préparent à leur libération consciente de la matrice & de leurs peurs (mémoires karmiques) et donc de leurs bourreaux pour tout réécrire.
Aller je ne vous fait pas bisquer plus longtemps ….
Un historien et écrivain Vendéen bien connu dans la Vendée, Jean Henri Bouffard dont la famille a elle même été victime du génocide, a écrit un livre poignant sur ces horreurs sans nom.
Nous vous recommandons la lecture de son ouvrage « en habits de peaux Vendéennes et fours à pains aux Mainoises ».
Un exemplaire de la Constitution écrite sur de la peau humaine.
OUI vous avez bien lu !
De l’automne 1793 au printemps 1794, les armées républicaines ont renoué avec une tactique de massacres et de destructions qui n’avait plus été observé en Europe depuis la guerre de Trente Ans.
Des centaines de villages ont été brûlés, mais beaucoup d’habitants ont trouvé le moyen de se réfugier dans les bois et les bocages.
La Vendée (n°1- steve / nantes) est profondément marquée par ce passage dramatique de son histoire et en conservera longtemps les stigmates, tant dans le paysage que dans les mentalités.
OUVRAGE DE L’HISTORIEN JEAN HENRY BOUFFARD
NOYADES DE NANTES (n°1 steve noyade)
LES DROITS DE L’HOMME SUR UNE PEAU HUMAINE
TANNEE D’UN VENDEEN
Un exemplaire de la Constitution du 24 juin 1793 reliée en peau humaine
Source contre info.com
Louis Combe a fait connaître le texte du placard, copié sur l’original même, dans ses Épisodes et curiosités révolutionnaires et l’a fait suivre de sa Réponse à l’affiche de Billaud-Varenne, Vadier, Collot et Barère dans laquelle il dit ceci :
Plusieurs journaux avaient parlé avant nous des prétendues tanneries. Le fait nous parut si hasardé que nous le reléguâmes dans les on-dit, et nous nous contentâmes, dans un mémoire suivant, de rapporter littéralement les détails que donnait à ce sujet une feuille accréditée. Billaud-Varenne, Vadier, Collot et Barère ont cru bon et utile de signer une grande affiche bleue contre nous seuls. À la première explication que nous venons de donner, nous ajouterons que le fait de la tannerie humaine a certainement existé, puisqu’un de nos abonnés nous envoie, comme un digne monument des decemvirs, une Constitution de 1793, imprimée à Dijon chez Causse, sur un papier vélin et reliée en peau humaine qui imite le veau fauve. Nous offrons de la montrer à tous ceux qui seraient curieux de la voir…
Cet exemplaire de la Constitution a une histoire. Il devint plus tard la propriété d’un historien de la Révolution, Villeneuve, qui y joignit un exemplaire de l’affiche et une note destinée à l’authentifier. Muni de telles références, le livre fut mis en vente et acquis en 1849 par un libraire parisien. On en perd ensuite la trace jusqu’en 1864 où, le 13 février de cette année, il était vendu par les soins de M. France, le père d’Anatole, le maître styliste et délicieux conteur, pour la coquette somme de 231 F or. Cet exemplaire, après avoir eu plusieurs possesseurs, dont le marquis de Turgot, fut acheté en 1889 par le musée Carnavalet. C’est un in-12, joliment relié avec filets sur les plats et doré sur tranches.
On tanne les peaux humaines en pays rebelle
Les tanneries d’Angers
À Angers, le fondateur d’une tannerie de peau humaine fut le major Péquel qui chargea le tanneur Langlais de les préparer. Le manchonnier Prudhomme put ainsi confectionner trente-deux culottes en peau de Vendéens que portèrent certains officiers Bleus (n°3 indignité des bleus).
Dans un ouvrage impartial et s’appuyant sur des documents irréfutables, le professeur Raoul Mercier, professeur honoraire de l’École de Médecine de Tours, membre correspondant de l’Académie des Sciences, publia en 1939 chez Arrault et Cie, à Tours, Le Monde médical dans la guerre de Vendée où il donne des précisions sur le chirurgien-major Péquel du 4ebataillon des Ardennes qui « s’est acquis, dit le Pr Mercier, une triste célébrité en dirigeant l’atelier de tannerie de peaux des Vendéens fusillés près d’Angers. »
Le rôle de Péquel est certifié par deux témoins :
– l’un, Poitevin, agent national de la commune des Ponts-de-Cé, interrogé le 15 brumaire an III (6 novembre 1794), affirme avoir vu Péquel écorcher au bord de la Loire une trentaine de Vendéens fusillés.
– l’autre, un Angevin, Robin, raconta le 31 mai 1852, les scènes dont il fut témoin dans sa jeunesse : « J’avais, dit-il, l’âge de treize à quatorze ans, je puis affirmer avoir vu, sur les bords du fleuve (la Loire), les corps des malheureux Vendéens dont les cadavres avaient été écorchés. Il étaient écorchés à mi-corps parce qu’on coupait la peau au-dessous de la ceinture, puis le long des cuisses jusqu’à la cheville, de manière qu’après son enlèvement le pantalon se trouvait en partie formé. Il ne restait plus qu’à tanner et à coudre. » Les peaux étaient envoyées à la tannerie de Langlais, aux Ponts-Libres, ci-devant les Ponts-de-Cé, où elles étaient travaillées par des soldats, les ouvriers refusant de faire ce travail.
D’autres témoignages
Poursuivons notre quête de témoignages. L’existence de ces tanneries d’un nouveau genre est établie en Vendée pendant les années cruelles de 1793-1794.
Le général Beysser, rapporte Crétineau-Joly (Histoire de la Vendée militaire, T1, p. 165, Ed. de 1851), osa être le premier à porter un pantalon fait avec la peau préparée et tannée des Vendéens qu’on écorchait après la bataille.(n°3 -indignité des bleus)
En 1829, la comtesse de la Bouëre, qui préparait la rédaction de ses Mémoires, se trouvait à passer par La Flèche, a l’idée de recueillir, si possible, de quelqu’un du pays des renseignements sur le passage des Vendéens dans cette ville pendant la Virée de Galerne. Aux abords de la diligence elle s’adresse au hasard à un homme qui flâne par là et lui pose des questions. « Vous ne pouviez mieux vous adresser, Madame, répond-il. J’ai servi sous les généraux Kléber, Canclaux, Turreau, Cordelier… »
Et cet ancien Bleu donne à Mme de la Bouëre de terribles précisions ; il se vante même d’avoir écorché des “brigands” pour en faire tanner la peau à Nantes. Et il conclut le récit de ses exploits par ce satisfecit personnel : « Ah ! je bûchais bien. Aussi, on m’appelait “le boucher des Vendéens”. Et si cela revenait, je recommencerais encore. Je le ferais encore, si j’avais à le faire. »
Continuons nos recherches. Paul Lacroix, plus connu sous le nom de Bibliophile Jacob, avait fait la connaissance d’un nommé Souterre, ancien Hussard de la Mort, lequel lui assura avoir porté une culotte de peau humaine. Il recueillit un aveu identique de la bouche d’un architecte qui était, en 1823, un des plus terribles exécuteurs de la Bande Noire : il rasait les châteaux avec une impitoyable malerage. Cet architecte lui confia que, se trouvant à l’armée, il avait porté une culotte de peau humaine « fort bien tannée, fort souple et fort convenable
Ce partage me permet de vous mettre en immersion dans le cas de figure d’une « canalisation » .
Bien souvent ce que nous recevons est déstructuré ou composé de plusieurs éléments et il nous faut faire un assemblage intuitif – bon bein dans ce cas de figure lol je n’ai rien relié par moi même !!!! merci l’univers pour le lien : j’ai tilté par la force des choses .
Sous couvert de l’organisation d’une loi fondamentale sur les DROITS HUMAINS ceux-ci ont été inscrits, marqués, engrammés dans la chaire humaine donc dans la conscience collective.
Bonjour Ab,
Merci pour ce partage …
J’ai tenté (qd même) de faire un « lien » entre les 4 grands fils que vous avez donné …
… rien.
Et après avoir lu votre compréhension, … l’humain non éclairé est vraiment prêt à tout 🙁
Belle journée
Et bien quelle horreur… J’en perds mon latin…. L’être humain n’est vraiment pas très évolué encore….
à propos de latin, ce genre de parchemins existe au vatican, j’ai oublié ce qui est inscrit et je vous intite toutes et tous à vous concentrer sur le POSITIF !!! Plus de temps et d’énergie à perdre car la résilience du monde fraternel passe par la prise de conscience individuelle du bien-être commun !! Paix, Amour et Lumière en nos coeurs d’ëtres VIVANTS !!!