16/5/2020- TRAVAIL SOUS COPYRIGHT
Faites vos recherches …
Le port du masque & notre santé :
DISCLAIMER :
Je ne tire aucune conclusion, je me renseigne, je m’interroge et vous ?
Je ne peux rien affirmer car je ne suis pas médecin 😉
On réfléchit : porter un masque pour protéger l’autre ? si je ne suis pas malade… je le protège de quoi ? – si je veux me protéger oui je porte un masque qui je pense arrête le virus 😉 … une bonne expérience mondiale de soumission – test grandeur nature : la peur est visible par le nombre de masques
Voici un petit patchwork guidé…
La fonction respiratoire de même que la fonction digestive sont indispensables à la vie : elle fournissent aux cellules une source d’énergie, par la combustion d’un carburant et d’un comburant. L’appareil respiratoire assure, avec l’appareil cardio-vasculaire le transport de l’oxygène depuis l’air atmosphérique jusqu’à la cellule.
C’est sa fonction primordiale, vitale.
Parallélement il élimine le CO2 et participe avec le rein à la régulation de l’équilibre acido-basique.RESPIRATION = transport de l’oxygène jusqu’à la cellule = chaîne fonctionnelle qui comporte plusieurs étapes. Le centre respiratoire est situé dans le cerveau, au niveau du plancher du 4ème ventricule.
L’hypoxie et l’hypercapnie : peuvent entraîner des troubles psychiques pouvant aller jusqu’au coma.
Nous parlons là de ….. d’INSUFFISANCE RESPIRATOIRE …
tiens tiens ça me rappelle un truc
Hypoxie : inadéquation entre les besoins tissulaires en oxygène et les apports…
Hypercapnie : élévation de co2 (dioxyde de carbone) dans le sang, dans le corps et entraîne une hyperventilation
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Lire les partages du neurochirurgien Américain : L’article du Dr Russell Blaylock,
En Anglais : https://www.technocracy.news/blaylock-face-masks-pose-serious-risks-to-the-healthy/
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Porter un masque en continue selon – je cite le Dr Russel Blaylock neurochirurgien – « créer une réduction d’oxygénation du sang de -20% et en même temps favorise l’hypercapnie direction : le cerveau (pression artérielle = problème cardiaque). » … le centre respiratoire étant dans le cerveau…
Je cite un éditeur Canadien Claude Gélinas qui parle de ce neurochirurgien qui alerte.
Références utilisées par le Dr Russell Blaylock
- bin-Reza F et al. The use of mask and respirators to prevent transmission of influenza: A systematic review of the scientific evidence. Resp Viruses 2012;6(4):257-67.
- Zhu JH et al. Effects of long-duration wearing of N95 respirator and surgical facemask: a pilot study. J Lung Pulm Resp Res 2014:4:97-100.
- Ong JJY et al. Headaches associated with personal protective equipment- A cross-sectional study among frontline healthcare workers during COVID-19. Headache 2020;60(5):864-877.
- Bader A et al. Preliminary report on surgical mask induced deoxygenation during major surgery. Neurocirugia 2008;19:12-126.
- Shehade H et al. Cutting edge: Hypoxia-Inducible Factor-1 negatively regulates Th1 function. J Immunol 2015;195:1372-1376.
- Westendorf AM et al. Hypoxia enhances immunosuppression by inhibiting CD4+ effector T cell function and promoting Treg activity. Cell Physiol Biochem 2017;41:1271-84.
- Sceneay J et al. Hypoxia-driven immunosuppression contributes to the pre-metastatic niche. Oncoimmunology 2013;2:1 e22355.
- Blaylock RL. Immunoexcitatory mechanisms in glioma proliferation, invasion and occasional metastasis. Surg Neurol Inter 2013;4:15.
- Aggarwal BB. Nucler factor-kappaB: The enemy within. Cancer Cell 2004;6:203-208.
- Savransky V et al. Chronic intermittent hypoxia induces atherosclerosis. Am J Resp Crit Care Med 2007;175:1290-1297.
- Baig AM et al. Evidence of the COVID-19 virus targeting the CNS: Tissue distribution, host-virus interaction, and proposed neurotropic mechanisms. ACS Chem Neurosci 2020;11:7:995-998.
- Wu Y et al. Nervous system involvement after infection with COVID-19 and other coronaviruses. Brain Behavior, and Immunity, In press.
- Perlman S et al. Spread of a neurotropic murine coronavirus into the CNS via the trigeminal and olfactory nerves. Virology 1989;170:556-560.
Prenez votre temps pour aller lire chacune de ces recherches scientifiques sérieuses.
Faites votre propre idée, utilisez votre meilleur jugement et votre intelligence pour comprendre la réalité.
Le masque cache-efface notre bouche ! bah oui c’est un fait.
C’est de la bouche que sortent les sons, la parole, le verbe.
Elle permet de souffler, de s’alimenter, de se désaltérer, de parler, de chanter, de rire, de crier, de hurler, de goûter.
A la naissance, elle reçoit le premier souffle, le souffle de vie. A la mort, elle expulse le dernier souffle.La bouche est une porte qui laisse entrer ou sortir. Cette double fonction rappelle la clé qui permet d’ouvrir ou de fermer la porte.
La bouche est une grotte, une caverne chaude et humide.
Elle est un symbole de la Déesse Mère et de l’utérus, c’est-à-dire la matrice.
Et comme la grotte, c’est en elle que vit le serpent ou le dragon, gardien du trésor.
Dans la bouche, c’est la langue qui jour ce rôle.
Le trésor, c’est le verbe créateur.
La parole et le verbe sont conçus à l’intérieur de la bouche puis sont expulsés à l’extérieur.
Au début de sa vie, l’enfant pleure, puis babille, et plus tard, après un long entrainement, il pratique le langage articulé.
Religions antiques
Le Verbe est créateur. Dans la Genèse des Hébreux, le Verbe dit : — Que la lumière soit !
Et à cet instant, la lumière fut. Chez les Egyptiens, on pratiquait l’ouverture du nez, de la bouche, des oreilles et des yeux sur le défunt afin qu’il puisse en user dans l’Au-delà et y vivre. Cette cérémonie était un rituel symbolique.
Dans l’allégorie de la Renommée, la déesse possède cent bouches, cent oreilles et cent yeux.
Mais revenons à nos moutons… revenons à nos masques
Le masque et son symbolisme…
ILS adorent le symbolisme, les rituels etc… donc cet angle doit être abordé.
Etymologie du mot masque :
bas-latin – mascha – sorcière (faux visage pour faire peur – XIIème siècle)
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MASCA (piémontais) Italie… les origines
a) sujet (humain ou animal, mais surtout de genre féminin) qui a le don de changer sa forme en êtres différents
b) personne qui a le don de guérir ou de faire du mal
c) être supernatural générique
d) sorcière diabolique (selon l’église catholique)
e) jeune femme normale, mais qui est très vive, qui bouge toujours (acception positive). jeune femme effrontée (acception négative)
En latin existe maxilla (partie du visage), qui viendrait d’un archaïque et perdu * maxla (à lire màcsla).
Ensuite, masca / maxla sont mots du substrat pre-latin, probablement méditerranéen.
En Piémontais, le masque s’appelle mascrada, c’est-à-dire « mascheratura/effect de l’action de se masquer »
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Pour rester dans l’étymologie – Source : ICI
A-t-on voulu nous masquer quelque chose à propos de cet objet protecteur ?
A-t-on voulu maquiller la réalité ?
A-t-on assisté à une mascarade ?
Y a-t-il quelque coupable à démasquer – on reste dans la même famille étymologique ? Qu’a-t-on cherché à cacher à propos des masques ?
Et plus largement, ne peut-on pas dire que le mot masque, par sa double connotation positive (quand la fonction de l’objet est de protéger) et négative (quand elle est d’occulter), est l’instrument lexical idéal pour exprimer l’essence du politique et partant, le doute sur les pratiques de nos gouvernants ?
« Les masques dont il est permis de changer à chaque scène et sur lesquels on peut imprimer les symptômes des principales affections de l’âme peuvent seuls entretenir et justifier l’erreur des sens et ajouter un nouveau degré de vraisemblance à l’imitation »
Citation de Barthèl
Qu’est-ce qu’un symbole…
Un symbole est un médiateur entre le monde physique et le monde de la pensée.
C’est un langage ou plutôt un méta-langage qui dépend bien sûr de la culture et du contexte dans lequel on l’emploie.
Depuis les travaux de Jung en psychanalyse, les symboles ont repris une place importante dans la vie de notre société matérialiste, ce qui est en soi un bon signe de son évolution vers le monde de l’esprit, la spiritualité.
Les fonctions du symbole dans la tradition ésotérique sont multiples.
Dans un premier temps, le symbole évoque tout en voilant, il structure alors notre pensée et permet ainsi de faire en nous les prises de conscience qui mènent au « Connais-toi, toi-même ».
Par principe, un symbole n’est jamais vraiment interprété, car sa partie voilée est beaucoup plus importante que sa partie visible; le symbole, disait L.C.de Saint Martin en parlant des Nombres, n’exprime que l’étiquette du sac, et ne donnera pas communément la substance de la chose.
Cette substance, comment l’obtenir? Eh bien, tout simplement, par recoupement entre divers symboles dans une même tradition, ou avec d’autres traditions, quand notre perception personnelle de ce symbole est assez solide.
Les symboles jettent des ponts dans la conscience de l’individu .
Ils permettent des associations d’idées qui favorisent l’éveil de la conscience.
Masquer : il s’agit de cacher sa personne sous l’apparence d’une autre très différente, de neutraliser les signes et expressions qui nous sont propres, de déguiser-cacher sa propre réalité, d’augmenter au maximum la distance entre sa vie intérieure et son activité extérieure, de créer une personne superposée à la sienne.
UN AUTRE ANGLE … juste pour le plaisir ^^
Le symbolisme du masque – reprise d’une planche issue de la Franc Maçonnerie (qui utilise les symboles et les rites).
« Traiter un sujet sur les masques pose inévitablement un délicat problème d’équilibre à trouver entre ethnologie et esthétique, entre exoterisme et ésotérisme, deux approches indispensables l’une que l’autre.
Sous l’apparence matérielle du masque, sous son attrait esthétique, il ne faut pas oublier qu’il y a presque toujours une dimension philosophique : l’objet est le support d’un rite ou d’un principe de vie. La première raison d’être de ces objets n’est pas le plaisir de l’œil. Leur destination profonde est ésotérique, axée sur les cultes ancestraux ou mythiques : faire revivre des mythes fondateurs, perpétuer la mémoire des ancêtres, agir de manière positive sur des forces surnaturelles ou sur les émanations de l’au-delà ce qui entraîne de nombreuses implications dans les domaines de la morale et de la sociologie. En d’autres termes, les masques permettent d’assurer la cohésion et la hiérarchie sociales, le respect des lois coutumières et la répression des comportements non admis dans un groupe. Le masque garantit un mode de vie.
Les mythes qui relatent l’existence d’un dieu créateur ou l’intervention des astres dans la vie quotidienne sont très nombreux dans les sociétés africaines animistes. On conçoit aisément que les conjonctures célestes prédéterminent ce qui se passe sur terre et inversement chaque événement terrestre a ses répercutions dans le ciel. L’homme a toujours voulu dépasser les limites de ses cinq sens afin de pouvoir franchir le seuil du surnaturel.
Le monde des masques est aussi complexe, proliférant et inextricable que la forêt équatoriale, mais on peut tenter de dégager quelques éléments pour répondre à ces trois questions.
Le terme « masque » est couramment utilisé avec des sens différents, et il apparaît que l’on pouvait facilement passer d’une définition à une autre :
– déguisement plus ou moins grotesque : c’est un faux visage pour se donner un aspect différent :
– dans le cadre physique, le masque peut signifier le faciès, l’aspect réel d’un visage humain ou bien son aspect anormal lorsqu’on est malade
– dans le cadre plastique, un masque peut être un modelé de visage, un motif ornemental reproduisant une personne ou un animal. Un masque peut se réduire à une couche de crème, de fard plus ou moins gracieusement appliquée sur le visage
– dans le cadre pratique, le masque désigne généralement une sorte de protection, le masque pour anesthésier, le masque à oxygène, le treillis des escrimeurs, le masque des soudeurs, cette liste n’étant pas exhaustive…
On pourrait ajouter le terme « mascarade » qui se rapporte de très près à celui de masque en désignant parfois une mise en scène ou une attitude trompeuse ou hypocrite. Ce dernier aspect est possible parce que l’homme peut se masquer sans porter de masque en se composant une attitude afin d’apparaître de façon plus ou moins dissimulée. L’animal est également capable de se masquer mais à la différence de l’homme qui pense, il est guidé uniquement par son instinct pour attraper ses proies, se fondre dans un environnement ou adopter une attitude terrifiante pour faire fuir ses prédateurs.
Le masque peut et même doit, à travers tous ces aspects, permettre la dissimilation par la perte factice de l’individualité, la métamorphose par l’adoption d’une apparence et enfin l’intimidation qui peut chez l’homme aller jusqu’à l’épouvante.
Cette classification que j’ai empruntée au Petit Robert est nécessairement artificielle parce qu’un masque quel qu’il soit peut appartenir à plusieurs de ces catégories. Et le masque africain, grâce à son pouvoir de personnification de la tradition par le culte des ancêtres, résume bien tous ces aspects.
Pour être cosmique, le masque africain emprunte ses éléments à la nature mais il les recompose en fonction de la culture dont il émane et en fonction également de l’idée ou de l’impression qu’il doit communiquer.
Le masque est un art de la matérialisation (matérialisation des mythes), un art de la signification et il apparaît souvent comme une combinaison reconstruite à partir de plusieurs signes pris dans un ou plusieurs domaines de référence qui recréent une réalité à l’aide d’un vocabulaire ayant un sens particulier, un sens intellectuel et dont les éléments ne sont pas toujours imités du réel. Ce qui complique encore plus le message.
Et qu’en est-il à notre époque ? A coup sûr le masque s’est transformé, s’est amélioré mais le masque existe encore parce que le bon sens populaire sait aussi se servir des masques. Si l’homme pense et sait qu’il pense, il faut bien souvent que ses sentiments n’apparaissent pas dans ces rapports avec les autres. Il doit cacher ce qu’il ressent en adoptant une attitude trompeuse et le masque devient théâtral. Ne dit-on pas souvent que la vie est une comédie ? Le médecin est souvent amené à cacher ce qu’il ressent devant un malade et ce sentiment se renforce souvent avec l’expérience. Il reste souvent impassible devant des cas désespérés. Cet aspect sans émotion du médecin cache parfois un désarroi interne réprimé par le masque professionnel et le malade ne doit surtout pas se rendre compte. Ce masque professionnel, au contraire du masque matériel ou représentatif doit laisser paraître une certaine indifférence, ce qui exclut totalement l’émotion apparente pour l’acteur, mais peut-être pas pour la famille, les proches du malade c’est-à-dire les spectateurs.
Dans notre réalité maçonnique, l’aspect théâtral s’y retrouve aussi. Nous nous présentons dans les parvis avec parfois nos masques profanes qui tiennent de la politesse du bon sens. Il y des Pierre par-ci des Luc par-là et puis soudain trois coups du maître de cérémonie, et chacun à tour de rôle nous rentrons dans la scène. Dès l’ouverture des travaux, nous mettons nos masques de maçon. Nous avons laissé nos métaux à la porte du temple. Il n’y a plus d’Alain, c’est le vénérable, plus de Simone c’est la sœur Orateur. Pendant un moment, les mots prononcés, les gestes exécutés comme la mise à l’ordre, même la formule consacrée pour prendre la parole ne vont plus être de simples mots et nous passons du profane au sacré grâce à la représentation symbolique que nous nous faisons au fond de nous. Par quel miracle cela est-il possible si ce n’est celui de la métamorphose comme le porteur de masque africain ! Nous chassons le naturel, nous chassons le profane comme le porteur de masque parce que nous avons le code, parce que nous nous efforçons à apprendre le langage. Nos rites, nos outils, notre manière de travailler ressembleraient parfois à s’y méprendre à une cérémonie au fin fond de la forêt équatoriale. »
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On dit souvent qu’une image résume bien le propos que l’on souhaite faire passer alors je vous en propose plusieurs…. comprendra qui voudra / qui pourra.
Voilà voilà…
Tout cela + le souffre dans l’air m’inspire un peu d’ironie…
Mon post Facebook : https://www.facebook.com/abellinasaintjustemedium/posts/3305664719457397
Merci Abellina très bien développé
Ces masques qui au final nous empoisonnent nous transforment ,nous fixent dans la peur.je vois un bon nombre de gens qui le porte en dehors des lieux dits à risque, seuls dans leur voiture,en pleine campagne,en promenade,…. habillés de pied en cape pour certains ,ils se sentent protégés ,sous cette pseudo carapace .En faisant mes courses combien de gens masqués et gantés ne respectent pas la distance,ils se sentent protégés et te bousculent ou t insultent et crient à qui veut l’entendre regarder ,ils n’ont pas de masques c’est eux la cause …..qu’elle mascarade nous jouons!!
On nous différencie du mouton et du défiant
On nous méprise,on nous pointe, déjà on nous trace ,
Va t’on vers une France de dénonciation ?(les écoles)
Merci, je cherche un complèment à la vidéo très intéressante et complète, faisant parler un prètre, et postée sur sa chaine youtube, par Pierre blanchette un canadien un peu louphoque, sur la forme; donc ce prètre développe la symbolique du masque, des franc maçons, il explique à quel point ce masque qu’on nous fait porter est important par la noirceur de ses conséquences, il prépare tout à fait au vaccn qui ne sera pas contre une maladie précise, mais modifiant génétiquement notre humanité. Tout cela est diabolique. Enfin, nous sommes à la fin d’une époque très longue, plusieurs siècles, j’étudie aussi l’astrologie, des astrologues compétents nous donnent des interprètations de notre années, à l’occasion de l’évolution de la lune, et il y a aussi une vidéo sur l’année faite au printemps 2019. Enfin, cette année 2020 est singulière, énorme, c’est l’aboutissement des années précédentes, les gilets jaunes, l’élection d’un pion de la banque rotshilde etc. maryse.mazeres@gmail.com, on me trouve aussi à différents endroits sur le net, dont facebook;
Bonsoir,
Il y a un prêtre qui parle du masque et de sa fonction rituelle satanique, sur la chaîne YouTube Biotic.
Le masque n’a pas une fonction satinaire, il nous est ordonné, comme une norme sociale en un lieu confiné (et même ouvert), jusque dans les églises !