CHEVAL
+ PEGASE
+ LICORNE à creuser !
Beaucoup de faits « divers » sur des mutilations de chevaux… depuis décembre 2018 : 12 chevaux retrouvés mots et mutilés et ce dernier mot est important !
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Aux 4 coins de la France : La Somme, le Puy de Dôme, l’Aisne, en Vendée, en Moselle, dans la Loire, le Lot et la Saône et Loire… et ce n’est pas terminé au 20/8/2020 !
Rituels et prise de trophées (oreilles, yeux, organes génitaux…)
Précisons : pas n’importe qui peut et sait saigner et vider une bête de son sang sans trace autour !!
RITUEL – SACRIFICE – OFFRANDE – TROPHEES
(cadeau en fin d’article pour aller + loin)
Faites vos recherches sur la mutilation de bétail ! mutilations diverses observées dans les cas énoncés (cherchez les rituels sexuels avec les chevaux !) – Celle qui répand les rituels sataniste dans les sphères des élites : infestation démonique MARINA ABRAMOVIC (faites vos recherches) outre le mind controle MK ULTRA.
Le cheval est un animal SACRE – les adorateurs de l’inversion des valeurs réécrivent une « histoire » qui n’existe pas. Leur « dada » le symbolisme et le sacré inversé, que vous y croyiez ou pas eux jouent et manipulent toutes les énergies qui nous entourent.
Vous connaissez mes origines polonaises… alors lisez Gra?yna Mosio et Beata Skocze?-Marchewka, auteurs de l’article « La symbolique des animaux dans la culture populaire polonaise, De l’étable à la forêt » (17 Mars 2009)
Le cheval comme le dauphin peuvent communiquer avec les autistes ^^
Rien ne se fait au hasard lorsque les adorateurs de S**** se mettent aux rituels, la « mutilation » fait partie du rite : douleur & souffrance sont sources d’énergie et d’offrande aux plans qui s’en nourrissent.
S’attaquer AU VIVANT ET LE SACRE = le combo pour ces dégénérés !
Bon nombre peuvent encore et encore rester dans le déni des pratiques de ces pseudos élites auto proclamées ! peu importe le voile se fend, les vérités se dévoilent et bon nombre vont se prendre un gifle sur L’INHUMANITE de ces sans âme.
Quelques ARTICLES (google ton meilleur ami ) : faites vos recherches !
Liens avec les astres et les éléments
Le cheval a cette particularité d’être associé à chacun des trois éléments constituants : eau / air / feu et des astres : soleil et lune , apparaissant comme leur avatar ou leur ami.
L’enchaînement symbolique Terre-Mère, Lune-Eau, Sexualité-Fertilité, Végétation-Renouveau périodique permet de découvrir d’autres aspects de ce symbole
À l’inverse des trois autres éléments, qui répondent à l’étymologie du cheval comme animal en mouvement, la terre apparaît toutefois éloignée de son symbolisme.
Le cheval chtonien positif, capable de guider son cavalier dans les régions souterraines et infernales, est surtout présent en Asie Centrale notamment à travers le mythe de Tchal-Kouirouk.
Carl Jung cite parmi « les chevaux de feu et de lumière représentés par le quadrige mystique » un motif particulier, celui des signes des planètes et des constellations. Il ajoute que « les chevaux représentent aussi les quatre éléments »
Le culte du cheval commence très tôt dans l’histoire de l’humanité : on trouve des représentations imagées du cheval sur les gravures rupestres et dans les cavernes. Le cheval est également enterré avec le défunt très tôt.
La symbolique du cheval est toutefois ambivalente : elle est simultanément solaire et lunaire.
Dans la mythologie védique, le cheval blanc représente le soleil ; dans le Rig-Veda, l’astre du jour est clairement désigné sous le nom d’étalon.
Neptune protecteur des chevaux.
Rites et possessions
Une métamorphose rituelle de l’homme en cheval se retrouve dans des rites initiatiques incluant des possessions.
L’homme qui s’abandonne à un esprit supérieur peut être possédé par une entité démoniaque ou positive, le « cheval » étant le canal qui leur permet de s’exprimer Le vaudou d’ haïti, du Brésil et d’Afrique l’égypte jusqu’au début du XXème siècle, ainsi que l’Abyssinie sont concernés.
Le possédé est chevauché par des esprits, puis dirigé par leur volonté.
Les adeptes des Mystères de Dionysos, en Asie Mineure étaient symboliquement chevauchés par leurs dieux.
Ces possessions se retrouvent peut-être dans l’ancienne Chine où les nouveaux initiés portaient le nom de « jeunes chevaux » tandis que le nom de « marchands de chevaux » désignait les initiateurs , comme les propagateurs du Taoïsme et de l’amidisme. L’organisation d’une réunion initiatique est nommée « lâcher de chevaux ».
SYMBOLISME SPIRITUEL DU CHEVAL
L’animal totem du cheval apporte des amitiés positives avec une vraie communication, une compassion et un amour.
Le cheval a une forte capacité psychique avec la capacité de lire les intentions et les pensées humaines.
Si vous pratiquez de la sorcellerie, le cheval verra à travers vos pratiques, révélant votre secret.
L’animal spirituel du cheval transperce notre relation avec la terre, la nature et tout ce qui est naturel. Le cycle de vie, la mort et la renaissance.
Le cheval perturbe le guerrier dans l’action, accélère les énergies spirituelles, habilite l’âme à se créer et à se manifester. Le guide de l’esprit du cheval connaît les chemins secrets et les chemins de propulsion magique dans leur propre destinée divine.
Nous connaissons l’idéologie méssianique des élites qui vouent un culte à l’ombre… cela n’est pas sans rappeler les chevaliers de l’apocalypse à cheval (ordo ab chao)- nous le savons TOUT LE SACRE est inversé chez ces dégénérés !
Travaux de Table Maçonnique
BANQUET
ou
« AGAPE FRATERNELLE »
Le banquet ou « agape fraternelle », est une des plus vieilles et des plus solides traditions maçonniques.
Déjà les Constitutions d’Anderson y font allusion, ainsi que les « règlements » qui leur font suite.
La tradition s’est maintenue. Chaque tenue est suivie – obligatoirement d’un banquet ou «agape fraternelle».
Au Rite Emulation, le banquet est rituel, c’est-à-dire que la table est en fer à cheval, présidée par le Vénérable, tandis que les deux surveillants se tiennent à chaque bout.
On commence par les « Grâces » récitées par le chapelain et le repas est ponctué par une série de « toasts » , les « toasts officiels » :
– au Président de la République (en Angleterre à la Reine),
– aux souverains et chefs d’Etat qui protègent la Maçonnerie,
– au Grand Maître
– les « toasts traditionnels » (à la Grande Loge, au Grand Maître Provincial, s’il y a lieu à l’initié du jour qui répond, aux loges saurs et aux visiteurs), puis « aux absents », enfin « à tous les Maçons pauvres et dans la détresse ».
Un voyage entre les neuf mondes
Les chevaux n’accompagnent que les hommes importants et aussi les dieux : le plus connu des chevaux divins est sans conteste Sleipnir (“celui qui glisse rapidement”), le coursier d’Odin.
Il possède 8 jambes et est représenté par une étoile à 8 rayons ; le neuvième point, soit le centre, représente le siège du cavalier.
Le chiffre “neuf” est le chiffre sacré d’Odin, qui désigne la Vie, plus exactement les 9 mois de la grossesse et aussi les 9 mondes. Il y a identité entre Sleipnir et l’Arbre du Monde, Yggdrasil (= Cheval/Porteur d’Yggr, lequel est Odin).
Lorsque Odin chevauche son coursier, cette course est identique à un voyage entre les 9 mondes.
Le cheval est un véhicule (comme aussi dans d’autres religions), tandis que l’esprit du cavalier ou du conducteur (de char) prend position.
Dans la Chasse Sauvage aussi, le père cosmique Odin (Allvater Odin) chevauche Sleipnir, né du vent, aux côtés des morts, également montés, ce qui révèle la fonction transcendante du cheval : il dépasse les limites du monde et de la conscience ; il est celui qui porte les hommes dans l’autre monde, il guide les âmes, est de la sorte un psychopompe, comme l’attestent bon nombre d’offrandes trouvées dans les tombes.
Le jour et la nuit, la fertilité
Le cheval appartient, dans la mythologie, tant au monde de la lumière qu’à celui des ombres : il est tout à la fois “Skinfaxi”, celui dont la crinière est de lumière, et “Hrimfaxi”, celui dont la crinière est de suie ; ces 2 chevaux apportent le jour et la nuit. Le cheval blanc ailé est un symbole solaire, comme l’est Pégase dans la mythologie grecque.
Parmi les découvertes archéologiques faites sur le site scandinave de Trundholm, nous avons ce splendide cheval, tirant sur un char le disque solaire. Dans cette fonction, le cheval est un être qui maintient et conserve la vie ; c’est en tant que tel qu’il apparaît chez les Vanes et les divinités de la fertilité.
Sigmund Freud, dans sa manie de tout vouloir sexualiser, a donné au symbole du cheval, récurrent dans les rêves, la signification de “puissance (sexuelle)”, ce qui est une indication évidente à l’adresse des messieurs qui sont tombés bas de la selle, dont ils avaient rêvé : c’est le cheval qui fait le cavalier !
En tant que soleil ou que coursier cosmique, le cheval est également symbole de l’intelligence : « Le cavalier royal symbolise la maîtrise totale par la puissance de l’esprit » (cf. Marlene Baum).
Lorsqu’il est remplacé par un lion, celui-ci incarne alors « le soleil qui sèche l’humidité et dissipe le brouillard » (cf. J.C. Cooper).
Il y a en effet un rapport étroit entre le cheval et l’eau : Poséidon, le dieu de la mer, est représenté sous les traits d’un cheval. C’est lui qui engendre le premier cheval des origines, Skyphios, puis d’autres chevaux. « Ce lien du cheval à l’eau est d’origine nordique et provient des peuples de la Mer du Nord et de la Baltique » (cf. M. Baum).
Le “Cheval des Vagues” est un “kenning” (une métaphore), propre à l’Edda, pour désigner les plus longs bateaux des Vikings. Les nuages sont les chevaux de combat des Walkyries.
Chez les Grecs, Pégase apporte les orages et la pluie. Les chevaux tiraient des bateaux, des traîneaux et des chariots (comme, par ex., dans le cas du char solaire de Trundholm, qui date environ de 1300 avant l’ère chrétienne).
Dans les premiers âges, le cheval était évidemment un moyen de transport, si bien que la force motrice de l’automobile, qui l’a remplacé, se mesure encore en “chevaux”. C’est une signification que l’on peut transposer dans le domaine spirituel. C’est ainsi que l’on peut expliquer certaines règles particulières, concernant le cheval, comme dans le cas des prêtres païens germaniques, auxquels il était interdit de chevaucher des étalons. On prédisait l’avenir d’après les hennissements des chevaux blancs (les Schimmel), car on estimait que ceux-ci entretenaient un rapport plus direct avec les sphères des l’au-delà. Les Germains comme les Grecs juraient sur la tête de leurs chevaux. La signification religieuse du cheval, moyen de transport, lui assurait une double position dans le “Futhark” ou l’“Oding”, soit la série complète des runes, propres à tous les peuples germaniques : il y est le Raidho, le :r:, de Reise (voyage) et de Ritt (chevauchée), et, en même temps, l’Ehwaz, l’:e:, le cheval [“Ehwaz”, terme en germanique ancien, se rapproche du terme latin equus, ndt].
Force chtonienne
Dans la mythologie celtique, la divinité équestre Épona possède une force chtonienne, la reliant au monde des morts. Dans le chamanisme, on souligne surtout l’importance du passage entre les mondes, c’est-à-dire entre les différents états de conscience, ce qui se retrouve dans le personnage mythologique d’Odin, qui, d’après la foi des Germains de l’antiquité, avait reçu une initiation de type chamanique. Le gibet, auquel le pendu est accroché, est désigné comme le “cheval du pendu” [cf. le récit où Odin subit une pendaison pour apprendre le secret des runes, ndt]. Nous venons de voir qu’un rapport similaire unit symboliquement Yggdrasil et Sleipnir, qui sont mis en équation. Cette interprétation se retrouve dans la religion chrétienne, qui a pris le relais du paganisme germanique des origines, car un poème anglais du XIVe siècle désigne la croix comme le “cheval du Christ”.
Le cheval est également un animal que l’on offre en sacrifice. La cérémonie du sacrifice, dans les religions, constitue une tentative de faire passer un souhait dans la réalité. En ce sens, elle est un acte qui sanctionne un passage, donc réalise un état de transcendance. L’eucharistie, que l’on célèbre après le sacrifice du cheval, doit unir le dieu auquel s’adresse le sacrifice, le cheval sacrifié et les sacrificateurs. Les interdits, imposés par le christianisme et relatifs à la consommation de viande chevaline (qui furent décidés en 742 lors du “Concile germanique”), attestent d’une tentative d’extirper une coutume religieuse païenne et tout ce qu’elle signifie. Cependant, le souvenir de cette coutume persiste encore dans le vocabulaire allemand : dans le terme Stuten (type de biscuit, dont la dénomination signifie “jument”) et dans l’expression de Honigkuchenpferd (Cheval de pain d’épice), ersätze symboliques de l’antique consommation de viande chevaline.
Dans le “Phèdre” de Platon
Dans son Phèdre, Platon décrit l’âme humaine comme étant composée de 3 parties : l’une symbolisée par un noble cheval, l’autre par un canasson dépourvu de noblesse, et la troisième par un conducteur de char. Les crânes de cheval, que l’on trouve suspendus traditionnellement sur les pignons des fermes en Basse-Saxe, ont une signification apotropaïque (id est : dévier la mort et le malheur de la maison). Le cheval apparaît aussi comme un cauchemar nocturne, qui induit la peur.
Toutes ces coutumes relient le symbolisme du cheval à l’âme et à la vie de l’âme.
Les Indiens d’Amérique du Sud considèrent que le cheval et son cavalier ne font qu’un, alors que nous y voyons toujours une dualité. Ils ne comprenaient pas la symbiose, qui pouvait s’opérer entre l’animal porteur et l’homme porté, parce que le cheval leur était étranger.
Dans la symbolique, le cheval et le cavalier forme une dualité primordiale originelle : il y a là alliance de la vitalité et de l’intelligence, du corps et de l’esprit, du ciel et de la terre.
Intermédiaire entre les sexes
Le cheval n’est pas seulement confiné à la virilité ; il est bien plutôt une sorte d’intermédiaire entre les sexes (cf. M. Baum).
Dans les sports équestres, l’homme et la femme sont à égalité. Pour beaucoup, le cheval est plutôt un symbole de l’animalité en l’homme. Dans cette fonction, il fait office de miroir.
Le cheval sans cavalier représente « dès la mythologie grecque, le thème de la souffrance dérivée du conflit irrésolu entre l’homme et la nature » (M. Baum). La séparation du cheval et du cavalier est l’image originelle de la césure ; dans cette optique, les centaures de la mythologie grecque sont des êtres n’ayant pas encore subi cette césure. Cette césure fait ressentir à l’homme, depuis la lointaine aurore de la conscience, qu’il est un être fait d’incomplétude, une incomplétude qui le fait souffrir continuellement, et qui, de ce fait, fonde les croyances religieuses et pousse l’homme à créer.
Manger un animal sacré et porteur de tel symbolisme… ?!
En conclusion, il apparaît que le Cheval constitue un des archétypes fondamentaux que l’humanité ait inscrits dans sa mémoire. Son symbolisme s’étend aux deux pôles – haut et bas – du Cosmos, et par là est réellement universel.
Dans le monde du dessous, le Chtonien, nous avons vu en effet que le cheval apparaît comme un avatar ou un ami des trois éléments constituants, feu, terre, eau, et de son luminaire, la lune.
Mais nous l’avons vu aussi dans le monde du dessus, l’Ouranien, associé à ses trois éléments constituants, air, feu et eau – ces deux derniers entendus cette fois dans leur acception céleste – et à son luminaire, le Soleil. Des chevaux mènent le char du Soleil, des chevaux mènent le char de la Lune, au fronton du Parthénon.
Le cheval passe avec une égale aisance de la nuit au jour, de la mort à la vie, de la passion à l’action. Il relie donc les opposés dans une manifestation continue. Il est essentiellement manifestation : il est Vie et Continuité, par-dessus la discontinuité de notre vie et de notre mort.
Ses pouvoirs dépassent l’entendement : il est donc Merveille et il ne faut pas s’étonner que l’homme l’ait si souvent sacralisé, de la préhistoire à l’histoire
Bravo vous avez tenu jusqu’au bout : cadeau un lien pour les SACRIFICES HUMAINS !!
https://drive.google.com/file/d/1fxb80WCpHLopVC6h5V1XsvkFDAiBBRYV/view?usp=sharing
À côté de noms de dieux, on trouve des expressions propres au dressage des chevaux parmi les vocables découverts sur documents écrits et relevant des Aryens au temps où ils vivaient non encore divisés en Asie Mineure.
@abellinasaintjustemedium ©
Tout est lié, mais honte à ceux et celles qui font du mal aux animaux et peu importe leurs motivations profondes, puissent-ils recevoir ce qu’ils font, même si je pardonne il faut rendre à César ce qui appartient à César, mais dans l’amour inconditionnel afin que jamais plus de telles horreurs n’existent. Belle journée.