Le culte de la « victimisation » pour obtenir la « culpabilisation » et l’énergie associée.

Cet article part de ma publication sur VK (facebook russe non censuré !)

Voir ce qui se passe sous un autre prisme, plus largement et moins focus.
Quels sont les buts recherchés ? car ils (les gentils hein) ne génèrent rien pour rien

Je vous remets les liens – A NE PAS LOUPER !!! :
– vk : https://vk.com/wall618703117_25988
– 2 vidéos citées : https://www.youtube.com/watch?v=NlxhU6H5jqQ

et voir ses réflexions au final très actuelles !! https://www.youtube.com/watch?v=cTviaHRguVU

La vidéo numéro 1 https://www.youtube.com/watch?v=NlxhU6H5jqQ aborde encore et toujours le « devoir de mémoire et de victimisation » face au racisme.
Tous les sujets éclatent aux USA.
Voilà où ils en sont déjà aux USA : https://youtube.com/shorts/QsxNJbrt5gs?feature=share

Rappelez vous nous avions sentis pour 2014 une forme de potentielle « guerre civile » karmique pour les USA avec Valérie Lagrifoul astrologue sidéraliste. Wait and see.


Est-il nécessaire de rappeler que la plupart des américains lambda sont incapables de placer des pays ou capitale dans le monde hors US ?? culture proche du vide sidéral. Quand tu regardes ton nombril tu ne risques pas de voir ce qu’il y a plus loin. Alors leurs connaissances de sujets mondiaux touchants à l’humanité tu repasseras…

Pourquoi tout cela, pourquoi toutes ces guerres communautaires bien orchestrées ? ils (les gentils) accélèrent l’agenda ORDO AB CHAO. Ils sont sur tous les fronts ! racial, sexuel etc…

Partons sur leur mise en place et l’organisation des divisions par le culte des victimisations possibles… qui se souvient de « black live matters » financé par la clique Sorros ?

La victimisation personnelle peut se traduire par une tendance à l’apitoiement sur son sort et désormais sur un « sentiment de devoir » suivre la bonne pensée dominante.
Il s’agit même, pour l’auteure, conférencière et formatrice Ginette Plante, « d’un schéma de comportement qui crée un obstacle aux relations authentiques ».

Une certaine forme de rôle est ainsi adoptée : celui d’être la victime.

Nous avons tous, à un moment donné, joué le rôle de victimes pour atteindre un objectif consciemment ou pas. Mais transformer la victimisation en habitude, comme stratégie passive, est un piège.

L‘auto-victimisation est un processus psychique ou l’individu se positionne dans une place de victime. Victime de son entourage, victime de sa hiérarchie, de ses collègues… Elle souffre comme jamais auparavant n’a souffert dans ce monde. En effet, ses problèmes sont plus graves et plus urgents que ceux des autres. De plus :

  • Elle veut attirer l’attention. Au lieu de chercher une aide efficace ou une empathie légitime, la victime cherche à éveiller la pitié des autres et, dans cette mesure, à confirmer qu’elle ne peut résoudre les problèmes elle-même. Ce jeu de la victime a pu être renforcé dès l’enfance lorsque l’enfant est surprotégé par les adultes et grandit ainsi avec la conviction qu’elle n’a pas de ressources internes pour réagir aux situations qui lui font du mal.
  • Elle n’assume pas ses responsabilités. Ce point a beaucoup à voir avec le précédent, car la victime élude consciemment son rôle face aux conflits. Elle évite les problèmes et préfère rester dans le rôle de la victime.
  • Elle accuse les autres de ses malheurs. Celle qui en est victime est incapable de voir objectivement les situations de conflit parce qu’elle croit que le monde entier est contre elle. Personne ne pense comme elle, personne n’est capable de se mettre à sa place, alors que la réalité est qu’elle change elle-même la réalité en sa faveur pour se placer confortablement dans le rôle de la victime.
  • Elle se plaint constamment. C’est son activité préférée, car c’est la meilleure dynamique pour se justifier en tant que victime. Elle exagère ce qui lui fait mal, ce qui la dérange, mais elle essaie de faire croire qu’elle a fait tout son possible parce que les choses changent, alors qu’au fond, elle sait qu’elle n’est pas forte et ne fait aucun effort pour changer son attitude face à ce qu’elle n’aime pas.

Avoir conscience que l’on a été victime permet de sortir du statut de victime et de l’impuissance qui en découle. Mais spéculer sur le futur en posant comme hypothèse que l’on va être victime du système, d’un individu, ou expliquer toutes les conséquences négatives d’un quotidien par des variables extérieures est un processus handicapant et névrotique, vous posant en victime continuelle et induisant dans votre regard sur le monde que vous êtes impuissant face à ce qui s’y déroule. Il y a une différence entre un vrai statut de victime et celui qui se sent victime continuelle du système. La première chose à changer c’est votre regard sur le monde.

Lorsque cet état est persistant et devient partie intégrante de la personnalité d’une personne, on peut parler de victimisation pathologique. Cette condition de toujours se sentir victime d’abus et d’injustice, influence fortement les relations affectives et le style de vie.

Pourquoi vouloir faire payer ton voisin blanc avec qui tout va bien, pour un passé colonial ?! dans ce cas là c’est chacun dans son clapier à poules en totale souffrance et suspicion de danger encodé DONC réactivé par les gentils qui tirent les ficelles de la communication mondiale (comme BONNE PAROLE ET MORALE).


Pour sortir de la victimisation, il faut prendre conscience de la situation et prendre conscience des dommages que la personne se cause à elle-même. Si vous avez cette tendance, quelques pistes :

L’étape la plus importante est alors de commencer à renforcer son estime de soi. C’est l’étape fondamentale, afin de ne pas laisser les mécanismes de l’esprit vous piéger à nouveau.
Prenez conscience de vous-même, travaillez dur pour augmenter votre confiance en vous.
En fait, qu’est-ce qui a été bon pour vous en tant que victime jusqu’à présent ?
Certainement, cela ne vous a pas rendu heureux et n’a pas résolu vos problèmes d’enfance. Il est important d’évoluer et de grandir à l’intérieur, de vivre une nouvelle condition d’adulte et de responsable. Renforcez votre sécurité et votre estime de soi en prenant conscience de vos responsabilités, sans toujours les attribuer aux circonstances et au destin.

Le jeu du Diable, nous mener tous, selon nos « cases mémorielles, sociales et historiques » vers UNE FORME DE COMPLEXE DE VICTIMISATION ET LA SUBLIME ARME DE LA CULPABILISATION, le refuser c’est être inhumain- oui je sais c’est vicelard… mais le terreau des insécurités est si jouissif à exploiter, nous en portons tous au moins un !


D’une pierre deux coups, le double effet kiss cool !! après je suis victime – tu es le bourreau alors devient mon sauveur… vous êtes prêts ??? en matière d’énergie souffrante on fait le plein chez les ?

Une personne qui souffre d’un complexe de victimisation fait passer les besoins des autres avant les siens de telle sorte qu’elle puisse souffrir à la place des autres et donner ainsi un sens à sa vie.
Néanmoins, ces personnes s’infligent aussi des souffrances inutiles tout en s’attendant à ce que leur entourage les inonde d’affection en réponse à leurs sacrifices.

Les « bénéfices secondaires » pour celles et ceux qui succombent à la culpabilité :
Sachez que les personnes qui se posent en victimes le font la plupart du temps de leur propre volonté. Une personne qui souffre de ce problème préfère continuer à souffrir plutôt que de régler son problème, car ses souffrances sont vues comme un mal nécessaire pour avoir une vie bien remplie et qui ait du sens.
Une personne qui se prend pour une victime a besoin, plus que tout, de reconnaissance et de l’approbation de son entourage.

Les personnes souffrant d’un complexe de victimisation se choisissent souvent un modèle. Il s’agit généralement de quelqu’un qui a préféré souffrir plutôt que de se confronter à une situation dans le but d’atteindre un objectif donné. Ce modèle impose à la personne de privilégier les autres, de les mettre sur un piédestal en se donnant le devoir de leur rendre service sans rien demander en retour, comme mettre un genou à terre (ça nous rappelle un truc ?)

Quand une personne souffre d’un complexe de victimisation, elle tâche de régler les problèmes des autres et refusera toute aide ou bien considèrera toute assistance comme étant inutile. Elle ne voudra pas écouter de conseil ou de suggestion, car elle se sentira responsable de tout et parce qu’elle seule aura joué de rôle dans les changements qui ont été faits. Là au moins je suis investi, j’ai une vie, j’existe.

CASTRATION PAR « LA CULPABILITE » dont les synonymes sont « déshonneur – infamies  » etc… cela en dit long non ? ne pas honorer qui nous sommes et le divin en nous ; rester dans de vieux encodages stigmatisants et limitants.
Ils en ont besoin, c’est de l’énergie et une attache au bas astral.

La culpabilité est un affect des plus universels. 
Il s’agit du sentiment d’avoir commis une faute, qu’elle soit d’ailleurs réelle ou imaginaire. S’il s’avère normal de ressentir, de la culpabilité, elle peut aussi s’avérer castratrice.

la culpabilité est rattachée à « poumon – gros intestin », c’est à dire à la tristesse, à l’élément métal, à la peau et aux voies respiratoires.

Le poumon est bien le symbole de la vie et de la mort, ou tout au moins le symbole du passage d’un état à un autre. C’est aussi le symbole de notre identité manifestée dans un territoire : le poumon gère la peau et donc notre limite.
Les problèmes de territoire se manifestent par des problèmes de peau (peau repoussoir ou peau irritée), par des problèmes de respiration (asthme, apnée « on me pompe l’air », haleine repoussoir…etc.), par des problèmes sexuels (territoire intime, cystite)
La culpabilité est donc liée à l’organe qui gère tout cela. Qu’est-ce que cela signifie?

  • La première remarque qui saute aux yeux, c’est le rapport entre culpabilité et métal : dans
    toutes les époques et partout dans le monde, on a toujours « coupé » les « coupables » !
    Les mots coupables et couper ont la même racine.
    Un coupable doit être tué (symbole du passage de la vie à la mort) ou bien coupé (on coupe les mains à un voleur, la langue à un menteur, la tête à un criminel… et on coupe le prépuce aux hommes et le clitoris aux femmes !), on castre, on passe au fil de l’épée…etc.
    Quelle partie de nous cherche-t-on ainsi à extirper ? Le « mal » bien sûr !!
  • Deuxième remarque : toutes les traditions ont aussi pratiqué le sacrifice pour racheter les
    fautes prétendument commises par les hommes. Comme seule la divinité est exempte de
    faute, on sacrifiait un symbole d’innocence pour l’amadouer.
    Le symbole d’innocence peut être une brebis (le bouc émissaire), une volaille, mais aussi un enfant pré pubère ou une jeune fille vierge… de nos jours des âmes pures éveillées et conscientes en quête de bonté et de bienveillance et qui pourraient tomber dans le panneau grossier par leur naïveté et volonté de bien faire, parce que touchées en plein coeur.
    Bref, nous retrouvons toujours le même symbole, celui du rachat d’une faute commise (oui mais par qui et quand – en suis je directement et présentement le responsable ?)

Ceux qui ont généré l’inhumain veulent faire payer l’humain en contrition mais pas pour le bon …Dieu.
Tout n’est qu’une question de consentement.
Je peux reconnaître des situations inacceptables et ne pas porter le fardeau d’actes que je n’ai pas commis.

Parmi toutes les émotions qui nous habitent, l’une d’elle est particulièrement difficile à vivre et elle entraîne à elle seule un nombre incroyable de morts chaque jour sur la planète.

L’histoire de la culpabilité est l’histoire de chacun.
En effet, si chacun peut vivre plus ou moins facilement sa colère, sa peur, sa tristesse ou sa joie (les 4 émotions de bases), l’émotion dont il est question ici échappe en général à notre vigilance car elle est tellement ancrée en nous que c’est un peu comme demander à un poisson rouge de décrire l’eau dans laquelle il nage !

Pour se séparer du « problème » qui a causé la maladie, il faut d’abord comprendre ce qu’on est en train « d’expier ».

Par contre, celui qui passe par la guérison de son esprit via sa conscience supérieure, rencontre une véritable guérison de l’Âme, car il aura accepté « sa face d’ombre », celle dont il voulait justement être coupé pour échapper ainsi au jugement de son propre mental, conscient ou inconscient…

Regardez cette pépite et son intervention magistrale face à un woke : https://www.youtube.com/watch?v=josrxVtGE40

Posez vous pour la 2de vidéo ! ça en vaut la peinece type est incroyable de lucidité : https://www.youtube.com/watch?v=cTviaHRguVU

Le secret à mon sens : respectons le vivant, le parcours de notre humanité, vivons le moment présent et ne répondons pas à leur tentative désespérée de nous diviser pour mieux nous diviser de nous même et du divin en nous.?

@abellinasaintjustemedium

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