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Ouvrez vos ?

-partage-

L’ouverture du cœur est le préalable obligé de toute vie intérieure, le premier pas vers l’éveil et la complétude.

L’ouverture du cœur se fait par un chagrin d’amour qui déchire à jamais le cœur et le rend apte à aimer.C’est peut-être le cœur qui s’ouvre, baby groove. (Michel Jonasz)

Celui qui n’a jamais aimé ne goûtera pas aux fruits de l’Arbre de Vie.

Et ils sont nombreux, celles et ceux qui n’ont jamais aimé.
Ils peuvent être mariés, elles peuvent être religieuses, ministres ou infirmières, ils et elles s’entourent d’un no human’s land sans tendresse, sans générosité, sans affection.

On les dirait : Cœurs secs. Psychorigides. Calculateurs froids, ils traversent la vie des autres comme un brise-glace dans la banquise. Ils sont seuls, parfois non. Ils vivent en ours ou en tyran domestique.

Ils ne « comprennent » pas les élans d’affection, les câlins, ils critiquent la manie des bisous et des petits cœurs qui fleurissent et les heurtent : à quoi riment toutes ces âneries, se disent-ils.
Quand nous avons affaire à une ou un sans-cœur, dur de lui envoyer de l’amour, dur de lui sourire. Et pourtant…
L’absence de chaleur humaine est communicative, les cœurs se glacent à ce contact glacial et laisse perplexe.

Ces êtres « ressemblent » à des robots. Privés de cœur, ils n’ont pas d’âme, pour ceux qui ne sont plus dans ces schémas bloquants.
Sans s’en douter, ils ont perdu leur chemin ou ne l’ont pas encore trouvé-expérimenté.
Ils risquent aussi de perdre la Vie. Un être « sans cœur » est un être mortel.
Certaines s’étonneront : ne sommes-nous pas tous mortels ?

Oui, un jour ou l’autre, nous quitterons tout notre corps. Mais quitter son corps n’est pas mourir.
J’ai fait ma première sortie astrale consciente à l’âge de 6 ans.

Depuis je sais par expérience que l’on peut vivre hors du corps. La puissance divine qui est en chacun de nous ne limite pas notre existence à ce véhicule de chair et d’os.
Nous avons dans le cœur le ticket pour la vie éternelle. Servons-nous en.

Dans ce cas, pourquoi dire qu’on peut perdre cette Vie ?

Pour une raison bien simple, en vérité : la vie éternelle ne nous est pas acquise, elle se gagne. L’ouverture du coeur est le préalable obligé de toute vie intérieure, la seule clé de la Vie éternelle. Une maxime templière le dit à sa manière obscure : « Si tu ne meurs pas de ton vivant, tu mourras en mourant. »

De fait, le message de cette phrase est terrible. Il faut connaître la mort symbolique ici-bas si l’on vivre au-delà.

Qu’est-ce que la « vive mort » ou mort symbolique ?

Ceux qui l’ont connue s’en souviennent. C’est l’enfer d’une rupture amoureuse. C’est se retrouver plus seul qu’un chien du désert, des siècles durant, à hurler à la lune.
C’est vouloir se foutre à l’eau, se pendre et disparaître à jamais de la face de la terre. C’est passer sept longues années sur le gril de l’enfer parce qu’en perdant son ami(e), on a perdu son âme. « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé » Si l’être aimé revient, la vie repartira… mais il ne revient jamais.

Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Et leurs baisers au loin les suivent Comme des soleils révolus. (Louis Aragon)

Aragon le communiste, le matérialiste dialectique, Aragon ne croyait pas à l’âme. L’âme était là quand même. Son amour pour Elsa l’a sauvé. Nous sommes des êtres de lumière, issue de la pure lumière, et nous y retournons par la réunion de nos trois personnes, le corps, l’esprit et le cœur.

L’homme n’est divin que lorsqu’il réalise en lui cette fusion.
Trois personnes en toi, tel est le message.
Devenir dieu, c’est unir ces trois personnes.
Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur.

Voilà le véritable sens de la sainte trinité. Toi et moi. Lui-Elle et eux.
Triples nous sommes devenus, triples nous vivrons à jamais. C’est donc un point capital d’ouvrir son cœur.

Quand vous écoutez quelqu’un, complètement, attentivement, vous n’écoutez pas seulement les mots, mais aussi le sentiment qui s’y associe, vous écoutez le tout, et non une partie. (Jiddu Krishnamurti)

Nous recevons trois personnes en une seule quand nous nous incarnons sur ce plan. Un corps, un cœur et un esprit. Mais c’est à nous qu’il incombe de les mettre en service.
A notre époque, l’ouverture du corps, travail de l’enfant, se fait par la pratique sportive. C’est le minimum souhaitable, mais ça suffit souvent.

L’ouverture de l’esprit se fait par l’école, y compris l’école de la vie, voyages, rencontres, etc. C’est aléatoire, imparfait, mais ça le fait.

Par contre, l’ouverture du cœur n’a rien d’automatique. Elle est représentée par l’arcane VI du Tarot, L’Amoureux. C’est en effet, sur le chemin de vie que nous présentent les arcanes majeurs, la première étape de l’autonomie terrestre.

Arrive ici le point magique où le jeune être choisit pour lui, décide sans ses parents… et souffre seul.La souffrance est la clé de l’ouverture du cœur, tel est l’enseignement de la Tradition. Et la souffrance est toujours le sort de l’Amoureux…

Celles et ceux qui n’ont pas eu le cœur brisé, en pièces, explosé, déchiré, piétiné… ne savent pas ce qu’aimer veut dire. Ils n’ont pas dépassé le stade solitaire de l’ego. Donner sans attendre, pardonner, entendre, et remercier le Vivant.

Oui, remercier, chanter les louanges de cette merveille que nous partageons vous et moi, la Vie, la Lumière et l’Amour. Et souvenons nous que nous n’avons pas toujours été ouverts de ?, il en va de nos apprentissages d’incarnation.
Qui sont trois étiquettes pour le même flacon.
Trois personnes intérieures qui nous composent, c’est à dire corps, esprit, cœur. Nous sommes triples, et nous ne le savons pas. Corps-esprit, entend-on.

C’est compter sans l’ouverture du cœur. Souvenons-nous, le corps s’ouvre avec le sport. L’esprit s’ouvre avec la curiosité.Le cœur, lui, s’ouvre avec le chagrin d’amour.

Il advint qu’un beau soir l’univers se brisa Sur des récifs que les naufrageurs enflammèrent Moi je voyais briller au-dessus de la mer Les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa (Louis Aragon)-

Devenir dieu, c’est unir ses trois personnes. Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur. Voilà le véritable sens de la sainte trinité. « C’est seulement lorsque tu as réuni tes trois personnes en une seule que tu es dieu, c’est alors que tu ne connais pas la mort. »

Ceux qui échouent dans cette mission sacrée vont, après leur mort, rejoindre la lumière où se dissoudra leur âme individuelle. Voilà la seconde mort, la vraie mort, celle de la conscience qui dit “ moi je” .

Pour y échapper à la dissolution, une seule solution : la mort symbolique, la ‘vive mort’, le chagrin d’amour fou qui ouvre le cœur. Comme on l’a compris, cette mort est la vraie naissance.« Qui n’est pas mort de son vivant, mourra en mourant. »

C’est ainsi. La vie n’a qu’une règle, aime. Aime sans attendre d’être aimé. Aime sans compter, aime tes voisins, aime tes ennemis, tes frères, tes rivaux…

Aime d’abord ton pire ennemi, c’est toi-même. Aime-toi, le ciel t’aimera. T’aimer toi-même n’est pas tout te permettre et ne rien assumer. Au contraire. C’est monter à chaque instant le niveau d’exigence et de don.

C’est voir tes progrès avant tes faiblesses. C’est te dire : aime encore et encore, aime toujours d’avantage.On n’aime jamais trop !.

On n’aime jamais assez. Plaisir d’amour ne dure qu’un moment.
Chagrin d’amour dure toute la vie. (Joan Baez)

Namasté ? internet

Ouvrez vos ?

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L’ouverture du cœur est le préalable obligé de toute vie intérieure, le premier pas vers l’éveil et la complétude.

L’ouverture du cœur se fait par un chagrin d’amour qui déchire à jamais le cœur et le rend apte à aimer.C’est peut-être le cœur qui s’ouvre, baby groove. (Michel Jonasz)

Celui qui n’a jamais aimé ne goûtera pas aux fruits de l’Arbre de Vie.

Et ils sont nombreux, celles et ceux qui n’ont jamais aimé.
Ils peuvent être mariés, elles peuvent être religieuses, ministres ou infirmières, ils et elles s’entourent d’un no human’s land sans tendresse, sans générosité, sans affection.

On les dirait : Cœurs secs. Psychorigides. Calculateurs froids, ils traversent la vie des autres comme un brise-glace dans la banquise. Ils sont seuls, parfois non. Ils vivent en ours ou en tyran domestique.

Ils ne « comprennent » pas les élans d’affection, les câlins, ils critiquent la manie des bisous et des petits cœurs qui fleurissent et les heurtent : à quoi riment toutes ces âneries, se disent-ils.
Quand nous avons affaire à une ou un sans-cœur, dur de lui envoyer de l’amour, dur de lui sourire. Et pourtant…
L’absence de chaleur humaine est communicative, les cœurs se glacent à ce contact glacial et laisse perplexe.

Ces êtres « ressemblent » à des robots. Privés de cœur, ils n’ont pas d’âme, pour ceux qui ne sont plus dans ces schémas bloquants.
Sans s’en douter, ils ont perdu leur chemin ou ne l’ont pas encore trouvé-expérimenté.
Ils risquent aussi de perdre la Vie. Un être « sans cœur » est un être mortel.
Certaines s’étonneront : ne sommes-nous pas tous mortels ?

Oui, un jour ou l’autre, nous quitterons tout notre corps. Mais quitter son corps n’est pas mourir.
J’ai fait ma première sortie astrale consciente à l’âge de 6 ans.

Depuis je sais par expérience que l’on peut vivre hors du corps. La puissance divine qui est en chacun de nous ne limite pas notre existence à ce véhicule de chair et d’os.
Nous avons dans le cœur le ticket pour la vie éternelle. Servons-nous en.

Dans ce cas, pourquoi dire qu’on peut perdre cette Vie ?

Pour une raison bien simple, en vérité : la vie éternelle ne nous est pas acquise, elle se gagne. L’ouverture du coeur est le préalable obligé de toute vie intérieure, la seule clé de la Vie éternelle. Une maxime templière le dit à sa manière obscure : « Si tu ne meurs pas de ton vivant, tu mourras en mourant. »

De fait, le message de cette phrase est terrible. Il faut connaître la mort symbolique ici-bas si l’on vivre au-delà.

Qu’est-ce que la « vive mort » ou mort symbolique ?

Ceux qui l’ont connue s’en souviennent. C’est l’enfer d’une rupture amoureuse. C’est se retrouver plus seul qu’un chien du désert, des siècles durant, à hurler à la lune.
C’est vouloir se foutre à l’eau, se pendre et disparaître à jamais de la face de la terre. C’est passer sept longues années sur le gril de l’enfer parce qu’en perdant son ami(e), on a perdu son âme. « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé » Si l’être aimé revient, la vie repartira… mais il ne revient jamais.

Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Et leurs baisers au loin les suivent Comme des soleils révolus. (Louis Aragon)

Aragon le communiste, le matérialiste dialectique, Aragon ne croyait pas à l’âme. L’âme était là quand même. Son amour pour Elsa l’a sauvé. Nous sommes des êtres de lumière, issue de la pure lumière, et nous y retournons par la réunion de nos trois personnes, le corps, l’esprit et le cœur.

L’homme n’est divin que lorsqu’il réalise en lui cette fusion.
Trois personnes en toi, tel est le message.
Devenir dieu, c’est unir ces trois personnes.
Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur.

Voilà le véritable sens de la sainte trinité. Toi et moi. Lui-Elle et eux.
Triples nous sommes devenus, triples nous vivrons à jamais. C’est donc un point capital d’ouvrir son cœur.

Quand vous écoutez quelqu’un, complètement, attentivement, vous n’écoutez pas seulement les mots, mais aussi le sentiment qui s’y associe, vous écoutez le tout, et non une partie. (Jiddu Krishnamurti)

Nous recevons trois personnes en une seule quand nous nous incarnons sur ce plan. Un corps, un cœur et un esprit. Mais c’est à nous qu’il incombe de les mettre en service.
A notre époque, l’ouverture du corps, travail de l’enfant, se fait par la pratique sportive. C’est le minimum souhaitable, mais ça suffit souvent.

L’ouverture de l’esprit se fait par l’école, y compris l’école de la vie, voyages, rencontres, etc. C’est aléatoire, imparfait, mais ça le fait.

Par contre, l’ouverture du cœur n’a rien d’automatique. Elle est représentée par l’arcane VI du Tarot, L’Amoureux. C’est en effet, sur le chemin de vie que nous présentent les arcanes majeurs, la première étape de l’autonomie terrestre.

Arrive ici le point magique où le jeune être choisit pour lui, décide sans ses parents… et souffre seul.La souffrance est la clé de l’ouverture du cœur, tel est l’enseignement de la Tradition. Et la souffrance est toujours le sort de l’Amoureux…

Celles et ceux qui n’ont pas eu le cœur brisé, en pièces, explosé, déchiré, piétiné… ne savent pas ce qu’aimer veut dire. Ils n’ont pas dépassé le stade solitaire de l’ego. Donner sans attendre, pardonner, entendre, et remercier le Vivant.

Oui, remercier, chanter les louanges de cette merveille que nous partageons vous et moi, la Vie, la Lumière et l’Amour. Et souvenons nous que nous n’avons pas toujours été ouverts de ?, il en va de nos apprentissages d’incarnation.
Qui sont trois étiquettes pour le même flacon.
Trois personnes intérieures qui nous composent, c’est à dire corps, esprit, cœur. Nous sommes triples, et nous ne le savons pas. Corps-esprit, entend-on.

C’est compter sans l’ouverture du cœur. Souvenons-nous, le corps s’ouvre avec le sport. L’esprit s’ouvre avec la curiosité.Le cœur, lui, s’ouvre avec le chagrin d’amour.

Il advint qu’un beau soir l’univers se brisa Sur des récifs que les naufrageurs enflammèrent Moi je voyais briller au-dessus de la mer Les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa (Louis Aragon)-

Devenir dieu, c’est unir ses trois personnes. Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur. Voilà le véritable sens de la sainte trinité. « C’est seulement lorsque tu as réuni tes trois personnes en une seule que tu es dieu, c’est alors que tu ne connais pas la mort. »

Ceux qui échouent dans cette mission sacrée vont, après leur mort, rejoindre la lumière où se dissoudra leur âme individuelle. Voilà la seconde mort, la vraie mort, celle de la conscience qui dit “ moi je” .

Pour y échapper à la dissolution, une seule solution : la mort symbolique, la ‘vive mort’, le chagrin d’amour fou qui ouvre le cœur. Comme on l’a compris, cette mort est la vraie naissance.« Qui n’est pas mort de son vivant, mourra en mourant. »

C’est ainsi. La vie n’a qu’une règle, aime. Aime sans attendre d’être aimé. Aime sans compter, aime tes voisins, aime tes ennemis, tes frères, tes rivaux…

Aime d’abord ton pire ennemi, c’est toi-même. Aime-toi, le ciel t’aimera. T’aimer toi-même n’est pas tout te permettre et ne rien assumer. Au contraire. C’est monter à chaque instant le niveau d’exigence et de don.

C’est voir tes progrès avant tes faiblesses. C’est te dire : aime encore et encore, aime toujours d’avantage.On n’aime jamais trop !.

On n’aime jamais assez. Plaisir d’amour ne dure qu’un moment.
Chagrin d’amour dure toute la vie. (Joan Baez)

Namasté ? internet

Ouvrez vos ?

-partage-

L’ouverture du cœur est le préalable obligé de toute vie intérieure, le premier pas vers l’éveil et la complétude.

L’ouverture du cœur se fait par un chagrin d’amour qui déchire à jamais le cœur et le rend apte à aimer.C’est peut-être le cœur qui s’ouvre, baby groove. (Michel Jonasz)

Celui qui n’a jamais aimé ne goûtera pas aux fruits de l’Arbre de Vie.

Et ils sont nombreux, celles et ceux qui n’ont jamais aimé.
Ils peuvent être mariés, elles peuvent être religieuses, ministres ou infirmières, ils et elles s’entourent d’un no human’s land sans tendresse, sans générosité, sans affection.

On les dirait : Cœurs secs. Psychorigides. Calculateurs froids, ils traversent la vie des autres comme un brise-glace dans la banquise. Ils sont seuls, parfois non. Ils vivent en ours ou en tyran domestique.

Ils ne « comprennent » pas les élans d’affection, les câlins, ils critiquent la manie des bisous et des petits cœurs qui fleurissent et les heurtent : à quoi riment toutes ces âneries, se disent-ils.
Quand nous avons affaire à une ou un sans-cœur, dur de lui envoyer de l’amour, dur de lui sourire. Et pourtant…
L’absence de chaleur humaine est communicative, les cœurs se glacent à ce contact glacial et laisse perplexe.

Ces êtres « ressemblent » à des robots. Privés de cœur, ils n’ont pas d’âme, pour ceux qui ne sont plus dans ces schémas bloquants.
Sans s’en douter, ils ont perdu leur chemin ou ne l’ont pas encore trouvé-expérimenté.
Ils risquent aussi de perdre la Vie. Un être « sans cœur » est un être mortel.
Certaines s’étonneront : ne sommes-nous pas tous mortels ?

Oui, un jour ou l’autre, nous quitterons tout notre corps. Mais quitter son corps n’est pas mourir.
J’ai fait ma première sortie astrale consciente à l’âge de 6 ans.

Depuis je sais par expérience que l’on peut vivre hors du corps. La puissance divine qui est en chacun de nous ne limite pas notre existence à ce véhicule de chair et d’os.
Nous avons dans le cœur le ticket pour la vie éternelle. Servons-nous en.

Dans ce cas, pourquoi dire qu’on peut perdre cette Vie ?

Pour une raison bien simple, en vérité : la vie éternelle ne nous est pas acquise, elle se gagne. L’ouverture du coeur est le préalable obligé de toute vie intérieure, la seule clé de la Vie éternelle. Une maxime templière le dit à sa manière obscure : « Si tu ne meurs pas de ton vivant, tu mourras en mourant. »

De fait, le message de cette phrase est terrible. Il faut connaître la mort symbolique ici-bas si l’on vivre au-delà.

Qu’est-ce que la « vive mort » ou mort symbolique ?

Ceux qui l’ont connue s’en souviennent. C’est l’enfer d’une rupture amoureuse. C’est se retrouver plus seul qu’un chien du désert, des siècles durant, à hurler à la lune.
C’est vouloir se foutre à l’eau, se pendre et disparaître à jamais de la face de la terre. C’est passer sept longues années sur le gril de l’enfer parce qu’en perdant son ami(e), on a perdu son âme. « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé » Si l’être aimé revient, la vie repartira… mais il ne revient jamais.

Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Et leurs baisers au loin les suivent Comme des soleils révolus. (Louis Aragon)

Aragon le communiste, le matérialiste dialectique, Aragon ne croyait pas à l’âme. L’âme était là quand même. Son amour pour Elsa l’a sauvé. Nous sommes des êtres de lumière, issue de la pure lumière, et nous y retournons par la réunion de nos trois personnes, le corps, l’esprit et le cœur.

L’homme n’est divin que lorsqu’il réalise en lui cette fusion.
Trois personnes en toi, tel est le message.
Devenir dieu, c’est unir ces trois personnes.
Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur.

Voilà le véritable sens de la sainte trinité. Toi et moi. Lui-Elle et eux.
Triples nous sommes devenus, triples nous vivrons à jamais. C’est donc un point capital d’ouvrir son cœur.

Quand vous écoutez quelqu’un, complètement, attentivement, vous n’écoutez pas seulement les mots, mais aussi le sentiment qui s’y associe, vous écoutez le tout, et non une partie. (Jiddu Krishnamurti)

Nous recevons trois personnes en une seule quand nous nous incarnons sur ce plan. Un corps, un cœur et un esprit. Mais c’est à nous qu’il incombe de les mettre en service.
A notre époque, l’ouverture du corps, travail de l’enfant, se fait par la pratique sportive. C’est le minimum souhaitable, mais ça suffit souvent.

L’ouverture de l’esprit se fait par l’école, y compris l’école de la vie, voyages, rencontres, etc. C’est aléatoire, imparfait, mais ça le fait.

Par contre, l’ouverture du cœur n’a rien d’automatique. Elle est représentée par l’arcane VI du Tarot, L’Amoureux. C’est en effet, sur le chemin de vie que nous présentent les arcanes majeurs, la première étape de l’autonomie terrestre.

Arrive ici le point magique où le jeune être choisit pour lui, décide sans ses parents… et souffre seul.La souffrance est la clé de l’ouverture du cœur, tel est l’enseignement de la Tradition. Et la souffrance est toujours le sort de l’Amoureux…

Celles et ceux qui n’ont pas eu le cœur brisé, en pièces, explosé, déchiré, piétiné… ne savent pas ce qu’aimer veut dire. Ils n’ont pas dépassé le stade solitaire de l’ego. Donner sans attendre, pardonner, entendre, et remercier le Vivant.

Oui, remercier, chanter les louanges de cette merveille que nous partageons vous et moi, la Vie, la Lumière et l’Amour. Et souvenons nous que nous n’avons pas toujours été ouverts de ?, il en va de nos apprentissages d’incarnation.
Qui sont trois étiquettes pour le même flacon.
Trois personnes intérieures qui nous composent, c’est à dire corps, esprit, cœur. Nous sommes triples, et nous ne le savons pas. Corps-esprit, entend-on.

C’est compter sans l’ouverture du cœur. Souvenons-nous, le corps s’ouvre avec le sport. L’esprit s’ouvre avec la curiosité.Le cœur, lui, s’ouvre avec le chagrin d’amour.

Il advint qu’un beau soir l’univers se brisa Sur des récifs que les naufrageurs enflammèrent Moi je voyais briller au-dessus de la mer Les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa (Louis Aragon)-

Devenir dieu, c’est unir ses trois personnes. Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur. Voilà le véritable sens de la sainte trinité. « C’est seulement lorsque tu as réuni tes trois personnes en une seule que tu es dieu, c’est alors que tu ne connais pas la mort. »

Ceux qui échouent dans cette mission sacrée vont, après leur mort, rejoindre la lumière où se dissoudra leur âme individuelle. Voilà la seconde mort, la vraie mort, celle de la conscience qui dit “ moi je” .

Pour y échapper à la dissolution, une seule solution : la mort symbolique, la ‘vive mort’, le chagrin d’amour fou qui ouvre le cœur. Comme on l’a compris, cette mort est la vraie naissance.« Qui n’est pas mort de son vivant, mourra en mourant. »

C’est ainsi. La vie n’a qu’une règle, aime. Aime sans attendre d’être aimé. Aime sans compter, aime tes voisins, aime tes ennemis, tes frères, tes rivaux…

Aime d’abord ton pire ennemi, c’est toi-même. Aime-toi, le ciel t’aimera. T’aimer toi-même n’est pas tout te permettre et ne rien assumer. Au contraire. C’est monter à chaque instant le niveau d’exigence et de don.

C’est voir tes progrès avant tes faiblesses. C’est te dire : aime encore et encore, aime toujours d’avantage.On n’aime jamais trop !.

On n’aime jamais assez. Plaisir d’amour ne dure qu’un moment.
Chagrin d’amour dure toute la vie. (Joan Baez)

Namasté ? internet

Ouvrez vos ?

-partage-

L’ouverture du cœur est le préalable obligé de toute vie intérieure, le premier pas vers l’éveil et la complétude.

L’ouverture du cœur se fait par un chagrin d’amour qui déchire à jamais le cœur et le rend apte à aimer.C’est peut-être le cœur qui s’ouvre, baby groove. (Michel Jonasz)

Celui qui n’a jamais aimé ne goûtera pas aux fruits de l’Arbre de Vie.

Et ils sont nombreux, celles et ceux qui n’ont jamais aimé.
Ils peuvent être mariés, elles peuvent être religieuses, ministres ou infirmières, ils et elles s’entourent d’un no human’s land sans tendresse, sans générosité, sans affection.

On les dirait : Cœurs secs. Psychorigides. Calculateurs froids, ils traversent la vie des autres comme un brise-glace dans la banquise. Ils sont seuls, parfois non. Ils vivent en ours ou en tyran domestique.

Ils ne « comprennent » pas les élans d’affection, les câlins, ils critiquent la manie des bisous et des petits cœurs qui fleurissent et les heurtent : à quoi riment toutes ces âneries, se disent-ils.
Quand nous avons affaire à une ou un sans-cœur, dur de lui envoyer de l’amour, dur de lui sourire. Et pourtant…
L’absence de chaleur humaine est communicative, les cœurs se glacent à ce contact glacial et laisse perplexe.

Ces êtres « ressemblent » à des robots. Privés de cœur, ils n’ont pas d’âme, pour ceux qui ne sont plus dans ces schémas bloquants.
Sans s’en douter, ils ont perdu leur chemin ou ne l’ont pas encore trouvé-expérimenté.
Ils risquent aussi de perdre la Vie. Un être « sans cœur » est un être mortel.
Certaines s’étonneront : ne sommes-nous pas tous mortels ?

Oui, un jour ou l’autre, nous quitterons tout notre corps. Mais quitter son corps n’est pas mourir.
J’ai fait ma première sortie astrale consciente à l’âge de 6 ans.

Depuis je sais par expérience que l’on peut vivre hors du corps. La puissance divine qui est en chacun de nous ne limite pas notre existence à ce véhicule de chair et d’os.
Nous avons dans le cœur le ticket pour la vie éternelle. Servons-nous en.

Dans ce cas, pourquoi dire qu’on peut perdre cette Vie ?

Pour une raison bien simple, en vérité : la vie éternelle ne nous est pas acquise, elle se gagne. L’ouverture du coeur est le préalable obligé de toute vie intérieure, la seule clé de la Vie éternelle. Une maxime templière le dit à sa manière obscure : « Si tu ne meurs pas de ton vivant, tu mourras en mourant. »

De fait, le message de cette phrase est terrible. Il faut connaître la mort symbolique ici-bas si l’on vivre au-delà.

Qu’est-ce que la « vive mort » ou mort symbolique ?

Ceux qui l’ont connue s’en souviennent. C’est l’enfer d’une rupture amoureuse. C’est se retrouver plus seul qu’un chien du désert, des siècles durant, à hurler à la lune.
C’est vouloir se foutre à l’eau, se pendre et disparaître à jamais de la face de la terre. C’est passer sept longues années sur le gril de l’enfer parce qu’en perdant son ami(e), on a perdu son âme. « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé » Si l’être aimé revient, la vie repartira… mais il ne revient jamais.

Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Et leurs baisers au loin les suivent Comme des soleils révolus. (Louis Aragon)

Aragon le communiste, le matérialiste dialectique, Aragon ne croyait pas à l’âme. L’âme était là quand même. Son amour pour Elsa l’a sauvé. Nous sommes des êtres de lumière, issue de la pure lumière, et nous y retournons par la réunion de nos trois personnes, le corps, l’esprit et le cœur.

L’homme n’est divin que lorsqu’il réalise en lui cette fusion.
Trois personnes en toi, tel est le message.
Devenir dieu, c’est unir ces trois personnes.
Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur.

Voilà le véritable sens de la sainte trinité. Toi et moi. Lui-Elle et eux.
Triples nous sommes devenus, triples nous vivrons à jamais. C’est donc un point capital d’ouvrir son cœur.

Quand vous écoutez quelqu’un, complètement, attentivement, vous n’écoutez pas seulement les mots, mais aussi le sentiment qui s’y associe, vous écoutez le tout, et non une partie. (Jiddu Krishnamurti)

Nous recevons trois personnes en une seule quand nous nous incarnons sur ce plan. Un corps, un cœur et un esprit. Mais c’est à nous qu’il incombe de les mettre en service.
A notre époque, l’ouverture du corps, travail de l’enfant, se fait par la pratique sportive. C’est le minimum souhaitable, mais ça suffit souvent.

L’ouverture de l’esprit se fait par l’école, y compris l’école de la vie, voyages, rencontres, etc. C’est aléatoire, imparfait, mais ça le fait.

Par contre, l’ouverture du cœur n’a rien d’automatique. Elle est représentée par l’arcane VI du Tarot, L’Amoureux. C’est en effet, sur le chemin de vie que nous présentent les arcanes majeurs, la première étape de l’autonomie terrestre.

Arrive ici le point magique où le jeune être choisit pour lui, décide sans ses parents… et souffre seul.La souffrance est la clé de l’ouverture du cœur, tel est l’enseignement de la Tradition. Et la souffrance est toujours le sort de l’Amoureux…

Celles et ceux qui n’ont pas eu le cœur brisé, en pièces, explosé, déchiré, piétiné… ne savent pas ce qu’aimer veut dire. Ils n’ont pas dépassé le stade solitaire de l’ego. Donner sans attendre, pardonner, entendre, et remercier le Vivant.

Oui, remercier, chanter les louanges de cette merveille que nous partageons vous et moi, la Vie, la Lumière et l’Amour. Et souvenons nous que nous n’avons pas toujours été ouverts de ?, il en va de nos apprentissages d’incarnation.
Qui sont trois étiquettes pour le même flacon.
Trois personnes intérieures qui nous composent, c’est à dire corps, esprit, cœur. Nous sommes triples, et nous ne le savons pas. Corps-esprit, entend-on.

C’est compter sans l’ouverture du cœur. Souvenons-nous, le corps s’ouvre avec le sport. L’esprit s’ouvre avec la curiosité.Le cœur, lui, s’ouvre avec le chagrin d’amour.

Il advint qu’un beau soir l’univers se brisa Sur des récifs que les naufrageurs enflammèrent Moi je voyais briller au-dessus de la mer Les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa (Louis Aragon)-

Devenir dieu, c’est unir ses trois personnes. Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur. Voilà le véritable sens de la sainte trinité. « C’est seulement lorsque tu as réuni tes trois personnes en une seule que tu es dieu, c’est alors que tu ne connais pas la mort. »

Ceux qui échouent dans cette mission sacrée vont, après leur mort, rejoindre la lumière où se dissoudra leur âme individuelle. Voilà la seconde mort, la vraie mort, celle de la conscience qui dit “ moi je” .

Pour y échapper à la dissolution, une seule solution : la mort symbolique, la ‘vive mort’, le chagrin d’amour fou qui ouvre le cœur. Comme on l’a compris, cette mort est la vraie naissance.« Qui n’est pas mort de son vivant, mourra en mourant. »

C’est ainsi. La vie n’a qu’une règle, aime. Aime sans attendre d’être aimé. Aime sans compter, aime tes voisins, aime tes ennemis, tes frères, tes rivaux…

Aime d’abord ton pire ennemi, c’est toi-même. Aime-toi, le ciel t’aimera. T’aimer toi-même n’est pas tout te permettre et ne rien assumer. Au contraire. C’est monter à chaque instant le niveau d’exigence et de don.

C’est voir tes progrès avant tes faiblesses. C’est te dire : aime encore et encore, aime toujours d’avantage.On n’aime jamais trop !.

On n’aime jamais assez. Plaisir d’amour ne dure qu’un moment.
Chagrin d’amour dure toute la vie. (Joan Baez)

Namasté ? internet

Ouvrez vos ?

-partage-

L’ouverture du cœur est le préalable obligé de toute vie intérieure, le premier pas vers l’éveil et la complétude.

L’ouverture du cœur se fait par un chagrin d’amour qui déchire à jamais le cœur et le rend apte à aimer.C’est peut-être le cœur qui s’ouvre, baby groove. (Michel Jonasz)

Celui qui n’a jamais aimé ne goûtera pas aux fruits de l’Arbre de Vie.

Et ils sont nombreux, celles et ceux qui n’ont jamais aimé.
Ils peuvent être mariés, elles peuvent être religieuses, ministres ou infirmières, ils et elles s’entourent d’un no human’s land sans tendresse, sans générosité, sans affection.

On les dirait : Cœurs secs. Psychorigides. Calculateurs froids, ils traversent la vie des autres comme un brise-glace dans la banquise. Ils sont seuls, parfois non. Ils vivent en ours ou en tyran domestique.

Ils ne « comprennent » pas les élans d’affection, les câlins, ils critiquent la manie des bisous et des petits cœurs qui fleurissent et les heurtent : à quoi riment toutes ces âneries, se disent-ils.
Quand nous avons affaire à une ou un sans-cœur, dur de lui envoyer de l’amour, dur de lui sourire. Et pourtant…
L’absence de chaleur humaine est communicative, les cœurs se glacent à ce contact glacial et laisse perplexe.

Ces êtres « ressemblent » à des robots. Privés de cœur, ils n’ont pas d’âme, pour ceux qui ne sont plus dans ces schémas bloquants.
Sans s’en douter, ils ont perdu leur chemin ou ne l’ont pas encore trouvé-expérimenté.
Ils risquent aussi de perdre la Vie. Un être « sans cœur » est un être mortel.
Certaines s’étonneront : ne sommes-nous pas tous mortels ?

Oui, un jour ou l’autre, nous quitterons tout notre corps. Mais quitter son corps n’est pas mourir.
J’ai fait ma première sortie astrale consciente à l’âge de 6 ans.

Depuis je sais par expérience que l’on peut vivre hors du corps. La puissance divine qui est en chacun de nous ne limite pas notre existence à ce véhicule de chair et d’os.
Nous avons dans le cœur le ticket pour la vie éternelle. Servons-nous en.

Dans ce cas, pourquoi dire qu’on peut perdre cette Vie ?

Pour une raison bien simple, en vérité : la vie éternelle ne nous est pas acquise, elle se gagne. L’ouverture du coeur est le préalable obligé de toute vie intérieure, la seule clé de la Vie éternelle. Une maxime templière le dit à sa manière obscure : « Si tu ne meurs pas de ton vivant, tu mourras en mourant. »

De fait, le message de cette phrase est terrible. Il faut connaître la mort symbolique ici-bas si l’on vivre au-delà.

Qu’est-ce que la « vive mort » ou mort symbolique ?

Ceux qui l’ont connue s’en souviennent. C’est l’enfer d’une rupture amoureuse. C’est se retrouver plus seul qu’un chien du désert, des siècles durant, à hurler à la lune.
C’est vouloir se foutre à l’eau, se pendre et disparaître à jamais de la face de la terre. C’est passer sept longues années sur le gril de l’enfer parce qu’en perdant son ami(e), on a perdu son âme. « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé » Si l’être aimé revient, la vie repartira… mais il ne revient jamais.

Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Et leurs baisers au loin les suivent Comme des soleils révolus. (Louis Aragon)

Aragon le communiste, le matérialiste dialectique, Aragon ne croyait pas à l’âme. L’âme était là quand même. Son amour pour Elsa l’a sauvé. Nous sommes des êtres de lumière, issue de la pure lumière, et nous y retournons par la réunion de nos trois personnes, le corps, l’esprit et le cœur.

L’homme n’est divin que lorsqu’il réalise en lui cette fusion.
Trois personnes en toi, tel est le message.
Devenir dieu, c’est unir ces trois personnes.
Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur.

Voilà le véritable sens de la sainte trinité. Toi et moi. Lui-Elle et eux.
Triples nous sommes devenus, triples nous vivrons à jamais. C’est donc un point capital d’ouvrir son cœur.

Quand vous écoutez quelqu’un, complètement, attentivement, vous n’écoutez pas seulement les mots, mais aussi le sentiment qui s’y associe, vous écoutez le tout, et non une partie. (Jiddu Krishnamurti)

Nous recevons trois personnes en une seule quand nous nous incarnons sur ce plan. Un corps, un cœur et un esprit. Mais c’est à nous qu’il incombe de les mettre en service.
A notre époque, l’ouverture du corps, travail de l’enfant, se fait par la pratique sportive. C’est le minimum souhaitable, mais ça suffit souvent.

L’ouverture de l’esprit se fait par l’école, y compris l’école de la vie, voyages, rencontres, etc. C’est aléatoire, imparfait, mais ça le fait.

Par contre, l’ouverture du cœur n’a rien d’automatique. Elle est représentée par l’arcane VI du Tarot, L’Amoureux. C’est en effet, sur le chemin de vie que nous présentent les arcanes majeurs, la première étape de l’autonomie terrestre.

Arrive ici le point magique où le jeune être choisit pour lui, décide sans ses parents… et souffre seul.La souffrance est la clé de l’ouverture du cœur, tel est l’enseignement de la Tradition. Et la souffrance est toujours le sort de l’Amoureux…

Celles et ceux qui n’ont pas eu le cœur brisé, en pièces, explosé, déchiré, piétiné… ne savent pas ce qu’aimer veut dire. Ils n’ont pas dépassé le stade solitaire de l’ego. Donner sans attendre, pardonner, entendre, et remercier le Vivant.

Oui, remercier, chanter les louanges de cette merveille que nous partageons vous et moi, la Vie, la Lumière et l’Amour. Et souvenons nous que nous n’avons pas toujours été ouverts de ?, il en va de nos apprentissages d’incarnation.
Qui sont trois étiquettes pour le même flacon.
Trois personnes intérieures qui nous composent, c’est à dire corps, esprit, cœur. Nous sommes triples, et nous ne le savons pas. Corps-esprit, entend-on.

C’est compter sans l’ouverture du cœur. Souvenons-nous, le corps s’ouvre avec le sport. L’esprit s’ouvre avec la curiosité.Le cœur, lui, s’ouvre avec le chagrin d’amour.

Il advint qu’un beau soir l’univers se brisa Sur des récifs que les naufrageurs enflammèrent Moi je voyais briller au-dessus de la mer Les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa (Louis Aragon)-

Devenir dieu, c’est unir ses trois personnes. Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur. Voilà le véritable sens de la sainte trinité. « C’est seulement lorsque tu as réuni tes trois personnes en une seule que tu es dieu, c’est alors que tu ne connais pas la mort. »

Ceux qui échouent dans cette mission sacrée vont, après leur mort, rejoindre la lumière où se dissoudra leur âme individuelle. Voilà la seconde mort, la vraie mort, celle de la conscience qui dit “ moi je” .

Pour y échapper à la dissolution, une seule solution : la mort symbolique, la ‘vive mort’, le chagrin d’amour fou qui ouvre le cœur. Comme on l’a compris, cette mort est la vraie naissance.« Qui n’est pas mort de son vivant, mourra en mourant. »

C’est ainsi. La vie n’a qu’une règle, aime. Aime sans attendre d’être aimé. Aime sans compter, aime tes voisins, aime tes ennemis, tes frères, tes rivaux…

Aime d’abord ton pire ennemi, c’est toi-même. Aime-toi, le ciel t’aimera. T’aimer toi-même n’est pas tout te permettre et ne rien assumer. Au contraire. C’est monter à chaque instant le niveau d’exigence et de don.

C’est voir tes progrès avant tes faiblesses. C’est te dire : aime encore et encore, aime toujours d’avantage.On n’aime jamais trop !.

On n’aime jamais assez. Plaisir d’amour ne dure qu’un moment.
Chagrin d’amour dure toute la vie. (Joan Baez)

Namasté ? internet

Ouvrez vos ?

-partage-

L’ouverture du cœur est le préalable obligé de toute vie intérieure, le premier pas vers l’éveil et la complétude.

L’ouverture du cœur se fait par un chagrin d’amour qui déchire à jamais le cœur et le rend apte à aimer.C’est peut-être le cœur qui s’ouvre, baby groove. (Michel Jonasz)

Celui qui n’a jamais aimé ne goûtera pas aux fruits de l’Arbre de Vie.

Et ils sont nombreux, celles et ceux qui n’ont jamais aimé.
Ils peuvent être mariés, elles peuvent être religieuses, ministres ou infirmières, ils et elles s’entourent d’un no human’s land sans tendresse, sans générosité, sans affection.

On les dirait : Cœurs secs. Psychorigides. Calculateurs froids, ils traversent la vie des autres comme un brise-glace dans la banquise. Ils sont seuls, parfois non. Ils vivent en ours ou en tyran domestique.

Ils ne « comprennent » pas les élans d’affection, les câlins, ils critiquent la manie des bisous et des petits cœurs qui fleurissent et les heurtent : à quoi riment toutes ces âneries, se disent-ils.
Quand nous avons affaire à une ou un sans-cœur, dur de lui envoyer de l’amour, dur de lui sourire. Et pourtant…
L’absence de chaleur humaine est communicative, les cœurs se glacent à ce contact glacial et laisse perplexe.

Ces êtres « ressemblent » à des robots. Privés de cœur, ils n’ont pas d’âme, pour ceux qui ne sont plus dans ces schémas bloquants.
Sans s’en douter, ils ont perdu leur chemin ou ne l’ont pas encore trouvé-expérimenté.
Ils risquent aussi de perdre la Vie. Un être « sans cœur » est un être mortel.
Certaines s’étonneront : ne sommes-nous pas tous mortels ?

Oui, un jour ou l’autre, nous quitterons tout notre corps. Mais quitter son corps n’est pas mourir.
J’ai fait ma première sortie astrale consciente à l’âge de 6 ans.

Depuis je sais par expérience que l’on peut vivre hors du corps. La puissance divine qui est en chacun de nous ne limite pas notre existence à ce véhicule de chair et d’os.
Nous avons dans le cœur le ticket pour la vie éternelle. Servons-nous en.

Dans ce cas, pourquoi dire qu’on peut perdre cette Vie ?

Pour une raison bien simple, en vérité : la vie éternelle ne nous est pas acquise, elle se gagne. L’ouverture du coeur est le préalable obligé de toute vie intérieure, la seule clé de la Vie éternelle. Une maxime templière le dit à sa manière obscure : « Si tu ne meurs pas de ton vivant, tu mourras en mourant. »

De fait, le message de cette phrase est terrible. Il faut connaître la mort symbolique ici-bas si l’on vivre au-delà.

Qu’est-ce que la « vive mort » ou mort symbolique ?

Ceux qui l’ont connue s’en souviennent. C’est l’enfer d’une rupture amoureuse. C’est se retrouver plus seul qu’un chien du désert, des siècles durant, à hurler à la lune.
C’est vouloir se foutre à l’eau, se pendre et disparaître à jamais de la face de la terre. C’est passer sept longues années sur le gril de l’enfer parce qu’en perdant son ami(e), on a perdu son âme. « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé » Si l’être aimé revient, la vie repartira… mais il ne revient jamais.

Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Et leurs baisers au loin les suivent Comme des soleils révolus. (Louis Aragon)

Aragon le communiste, le matérialiste dialectique, Aragon ne croyait pas à l’âme. L’âme était là quand même. Son amour pour Elsa l’a sauvé. Nous sommes des êtres de lumière, issue de la pure lumière, et nous y retournons par la réunion de nos trois personnes, le corps, l’esprit et le cœur.

L’homme n’est divin que lorsqu’il réalise en lui cette fusion.
Trois personnes en toi, tel est le message.
Devenir dieu, c’est unir ces trois personnes.
Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur.

Voilà le véritable sens de la sainte trinité. Toi et moi. Lui-Elle et eux.
Triples nous sommes devenus, triples nous vivrons à jamais. C’est donc un point capital d’ouvrir son cœur.

Quand vous écoutez quelqu’un, complètement, attentivement, vous n’écoutez pas seulement les mots, mais aussi le sentiment qui s’y associe, vous écoutez le tout, et non une partie. (Jiddu Krishnamurti)

Nous recevons trois personnes en une seule quand nous nous incarnons sur ce plan. Un corps, un cœur et un esprit. Mais c’est à nous qu’il incombe de les mettre en service.
A notre époque, l’ouverture du corps, travail de l’enfant, se fait par la pratique sportive. C’est le minimum souhaitable, mais ça suffit souvent.

L’ouverture de l’esprit se fait par l’école, y compris l’école de la vie, voyages, rencontres, etc. C’est aléatoire, imparfait, mais ça le fait.

Par contre, l’ouverture du cœur n’a rien d’automatique. Elle est représentée par l’arcane VI du Tarot, L’Amoureux. C’est en effet, sur le chemin de vie que nous présentent les arcanes majeurs, la première étape de l’autonomie terrestre.

Arrive ici le point magique où le jeune être choisit pour lui, décide sans ses parents… et souffre seul.La souffrance est la clé de l’ouverture du cœur, tel est l’enseignement de la Tradition. Et la souffrance est toujours le sort de l’Amoureux…

Celles et ceux qui n’ont pas eu le cœur brisé, en pièces, explosé, déchiré, piétiné… ne savent pas ce qu’aimer veut dire. Ils n’ont pas dépassé le stade solitaire de l’ego. Donner sans attendre, pardonner, entendre, et remercier le Vivant.

Oui, remercier, chanter les louanges de cette merveille que nous partageons vous et moi, la Vie, la Lumière et l’Amour. Et souvenons nous que nous n’avons pas toujours été ouverts de ?, il en va de nos apprentissages d’incarnation.
Qui sont trois étiquettes pour le même flacon.
Trois personnes intérieures qui nous composent, c’est à dire corps, esprit, cœur. Nous sommes triples, et nous ne le savons pas. Corps-esprit, entend-on.

C’est compter sans l’ouverture du cœur. Souvenons-nous, le corps s’ouvre avec le sport. L’esprit s’ouvre avec la curiosité.Le cœur, lui, s’ouvre avec le chagrin d’amour.

Il advint qu’un beau soir l’univers se brisa Sur des récifs que les naufrageurs enflammèrent Moi je voyais briller au-dessus de la mer Les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa (Louis Aragon)-

Devenir dieu, c’est unir ses trois personnes. Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur. Voilà le véritable sens de la sainte trinité. « C’est seulement lorsque tu as réuni tes trois personnes en une seule que tu es dieu, c’est alors que tu ne connais pas la mort. »

Ceux qui échouent dans cette mission sacrée vont, après leur mort, rejoindre la lumière où se dissoudra leur âme individuelle. Voilà la seconde mort, la vraie mort, celle de la conscience qui dit “ moi je” .

Pour y échapper à la dissolution, une seule solution : la mort symbolique, la ‘vive mort’, le chagrin d’amour fou qui ouvre le cœur. Comme on l’a compris, cette mort est la vraie naissance.« Qui n’est pas mort de son vivant, mourra en mourant. »

C’est ainsi. La vie n’a qu’une règle, aime. Aime sans attendre d’être aimé. Aime sans compter, aime tes voisins, aime tes ennemis, tes frères, tes rivaux…

Aime d’abord ton pire ennemi, c’est toi-même. Aime-toi, le ciel t’aimera. T’aimer toi-même n’est pas tout te permettre et ne rien assumer. Au contraire. C’est monter à chaque instant le niveau d’exigence et de don.

C’est voir tes progrès avant tes faiblesses. C’est te dire : aime encore et encore, aime toujours d’avantage.On n’aime jamais trop !.

On n’aime jamais assez. Plaisir d’amour ne dure qu’un moment.
Chagrin d’amour dure toute la vie. (Joan Baez)

Namasté ? internet

Ouvrez vos ?

-partage-

L’ouverture du cœur est le préalable obligé de toute vie intérieure, le premier pas vers l’éveil et la complétude.

L’ouverture du cœur se fait par un chagrin d’amour qui déchire à jamais le cœur et le rend apte à aimer.C’est peut-être le cœur qui s’ouvre, baby groove. (Michel Jonasz)

Celui qui n’a jamais aimé ne goûtera pas aux fruits de l’Arbre de Vie.

Et ils sont nombreux, celles et ceux qui n’ont jamais aimé.
Ils peuvent être mariés, elles peuvent être religieuses, ministres ou infirmières, ils et elles s’entourent d’un no human’s land sans tendresse, sans générosité, sans affection.

On les dirait : Cœurs secs. Psychorigides. Calculateurs froids, ils traversent la vie des autres comme un brise-glace dans la banquise. Ils sont seuls, parfois non. Ils vivent en ours ou en tyran domestique.

Ils ne « comprennent » pas les élans d’affection, les câlins, ils critiquent la manie des bisous et des petits cœurs qui fleurissent et les heurtent : à quoi riment toutes ces âneries, se disent-ils.
Quand nous avons affaire à une ou un sans-cœur, dur de lui envoyer de l’amour, dur de lui sourire. Et pourtant…
L’absence de chaleur humaine est communicative, les cœurs se glacent à ce contact glacial et laisse perplexe.

Ces êtres « ressemblent » à des robots. Privés de cœur, ils n’ont pas d’âme, pour ceux qui ne sont plus dans ces schémas bloquants.
Sans s’en douter, ils ont perdu leur chemin ou ne l’ont pas encore trouvé-expérimenté.
Ils risquent aussi de perdre la Vie. Un être « sans cœur » est un être mortel.
Certaines s’étonneront : ne sommes-nous pas tous mortels ?

Oui, un jour ou l’autre, nous quitterons tout notre corps. Mais quitter son corps n’est pas mourir.
J’ai fait ma première sortie astrale consciente à l’âge de 6 ans.

Depuis je sais par expérience que l’on peut vivre hors du corps. La puissance divine qui est en chacun de nous ne limite pas notre existence à ce véhicule de chair et d’os.
Nous avons dans le cœur le ticket pour la vie éternelle. Servons-nous en.

Dans ce cas, pourquoi dire qu’on peut perdre cette Vie ?

Pour une raison bien simple, en vérité : la vie éternelle ne nous est pas acquise, elle se gagne. L’ouverture du coeur est le préalable obligé de toute vie intérieure, la seule clé de la Vie éternelle. Une maxime templière le dit à sa manière obscure : « Si tu ne meurs pas de ton vivant, tu mourras en mourant. »

De fait, le message de cette phrase est terrible. Il faut connaître la mort symbolique ici-bas si l’on vivre au-delà.

Qu’est-ce que la « vive mort » ou mort symbolique ?

Ceux qui l’ont connue s’en souviennent. C’est l’enfer d’une rupture amoureuse. C’est se retrouver plus seul qu’un chien du désert, des siècles durant, à hurler à la lune.
C’est vouloir se foutre à l’eau, se pendre et disparaître à jamais de la face de la terre. C’est passer sept longues années sur le gril de l’enfer parce qu’en perdant son ami(e), on a perdu son âme. « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé » Si l’être aimé revient, la vie repartira… mais il ne revient jamais.

Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Et leurs baisers au loin les suivent Comme des soleils révolus. (Louis Aragon)

Aragon le communiste, le matérialiste dialectique, Aragon ne croyait pas à l’âme. L’âme était là quand même. Son amour pour Elsa l’a sauvé. Nous sommes des êtres de lumière, issue de la pure lumière, et nous y retournons par la réunion de nos trois personnes, le corps, l’esprit et le cœur.

L’homme n’est divin que lorsqu’il réalise en lui cette fusion.
Trois personnes en toi, tel est le message.
Devenir dieu, c’est unir ces trois personnes.
Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur.

Voilà le véritable sens de la sainte trinité. Toi et moi. Lui-Elle et eux.
Triples nous sommes devenus, triples nous vivrons à jamais. C’est donc un point capital d’ouvrir son cœur.

Quand vous écoutez quelqu’un, complètement, attentivement, vous n’écoutez pas seulement les mots, mais aussi le sentiment qui s’y associe, vous écoutez le tout, et non une partie. (Jiddu Krishnamurti)

Nous recevons trois personnes en une seule quand nous nous incarnons sur ce plan. Un corps, un cœur et un esprit. Mais c’est à nous qu’il incombe de les mettre en service.
A notre époque, l’ouverture du corps, travail de l’enfant, se fait par la pratique sportive. C’est le minimum souhaitable, mais ça suffit souvent.

L’ouverture de l’esprit se fait par l’école, y compris l’école de la vie, voyages, rencontres, etc. C’est aléatoire, imparfait, mais ça le fait.

Par contre, l’ouverture du cœur n’a rien d’automatique. Elle est représentée par l’arcane VI du Tarot, L’Amoureux. C’est en effet, sur le chemin de vie que nous présentent les arcanes majeurs, la première étape de l’autonomie terrestre.

Arrive ici le point magique où le jeune être choisit pour lui, décide sans ses parents… et souffre seul.La souffrance est la clé de l’ouverture du cœur, tel est l’enseignement de la Tradition. Et la souffrance est toujours le sort de l’Amoureux…

Celles et ceux qui n’ont pas eu le cœur brisé, en pièces, explosé, déchiré, piétiné… ne savent pas ce qu’aimer veut dire. Ils n’ont pas dépassé le stade solitaire de l’ego. Donner sans attendre, pardonner, entendre, et remercier le Vivant.

Oui, remercier, chanter les louanges de cette merveille que nous partageons vous et moi, la Vie, la Lumière et l’Amour. Et souvenons nous que nous n’avons pas toujours été ouverts de ?, il en va de nos apprentissages d’incarnation.
Qui sont trois étiquettes pour le même flacon.
Trois personnes intérieures qui nous composent, c’est à dire corps, esprit, cœur. Nous sommes triples, et nous ne le savons pas. Corps-esprit, entend-on.

C’est compter sans l’ouverture du cœur. Souvenons-nous, le corps s’ouvre avec le sport. L’esprit s’ouvre avec la curiosité.Le cœur, lui, s’ouvre avec le chagrin d’amour.

Il advint qu’un beau soir l’univers se brisa Sur des récifs que les naufrageurs enflammèrent Moi je voyais briller au-dessus de la mer Les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa (Louis Aragon)-

Devenir dieu, c’est unir ses trois personnes. Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur. Voilà le véritable sens de la sainte trinité. « C’est seulement lorsque tu as réuni tes trois personnes en une seule que tu es dieu, c’est alors que tu ne connais pas la mort. »

Ceux qui échouent dans cette mission sacrée vont, après leur mort, rejoindre la lumière où se dissoudra leur âme individuelle. Voilà la seconde mort, la vraie mort, celle de la conscience qui dit “ moi je” .

Pour y échapper à la dissolution, une seule solution : la mort symbolique, la ‘vive mort’, le chagrin d’amour fou qui ouvre le cœur. Comme on l’a compris, cette mort est la vraie naissance.« Qui n’est pas mort de son vivant, mourra en mourant. »

C’est ainsi. La vie n’a qu’une règle, aime. Aime sans attendre d’être aimé. Aime sans compter, aime tes voisins, aime tes ennemis, tes frères, tes rivaux…

Aime d’abord ton pire ennemi, c’est toi-même. Aime-toi, le ciel t’aimera. T’aimer toi-même n’est pas tout te permettre et ne rien assumer. Au contraire. C’est monter à chaque instant le niveau d’exigence et de don.

C’est voir tes progrès avant tes faiblesses. C’est te dire : aime encore et encore, aime toujours d’avantage.On n’aime jamais trop !.

On n’aime jamais assez. Plaisir d’amour ne dure qu’un moment.
Chagrin d’amour dure toute la vie. (Joan Baez)

Namasté ? internet

Ouvrez vos ?

-partage-

L’ouverture du cœur est le préalable obligé de toute vie intérieure, le premier pas vers l’éveil et la complétude.

L’ouverture du cœur se fait par un chagrin d’amour qui déchire à jamais le cœur et le rend apte à aimer.C’est peut-être le cœur qui s’ouvre, baby groove. (Michel Jonasz)

Celui qui n’a jamais aimé ne goûtera pas aux fruits de l’Arbre de Vie.

Et ils sont nombreux, celles et ceux qui n’ont jamais aimé.
Ils peuvent être mariés, elles peuvent être religieuses, ministres ou infirmières, ils et elles s’entourent d’un no human’s land sans tendresse, sans générosité, sans affection.

On les dirait : Cœurs secs. Psychorigides. Calculateurs froids, ils traversent la vie des autres comme un brise-glace dans la banquise. Ils sont seuls, parfois non. Ils vivent en ours ou en tyran domestique.

Ils ne « comprennent » pas les élans d’affection, les câlins, ils critiquent la manie des bisous et des petits cœurs qui fleurissent et les heurtent : à quoi riment toutes ces âneries, se disent-ils.
Quand nous avons affaire à une ou un sans-cœur, dur de lui envoyer de l’amour, dur de lui sourire. Et pourtant…
L’absence de chaleur humaine est communicative, les cœurs se glacent à ce contact glacial et laisse perplexe.

Ces êtres « ressemblent » à des robots. Privés de cœur, ils n’ont pas d’âme, pour ceux qui ne sont plus dans ces schémas bloquants.
Sans s’en douter, ils ont perdu leur chemin ou ne l’ont pas encore trouvé-expérimenté.
Ils risquent aussi de perdre la Vie. Un être « sans cœur » est un être mortel.
Certaines s’étonneront : ne sommes-nous pas tous mortels ?

Oui, un jour ou l’autre, nous quitterons tout notre corps. Mais quitter son corps n’est pas mourir.
J’ai fait ma première sortie astrale consciente à l’âge de 6 ans.

Depuis je sais par expérience que l’on peut vivre hors du corps. La puissance divine qui est en chacun de nous ne limite pas notre existence à ce véhicule de chair et d’os.
Nous avons dans le cœur le ticket pour la vie éternelle. Servons-nous en.

Dans ce cas, pourquoi dire qu’on peut perdre cette Vie ?

Pour une raison bien simple, en vérité : la vie éternelle ne nous est pas acquise, elle se gagne. L’ouverture du coeur est le préalable obligé de toute vie intérieure, la seule clé de la Vie éternelle. Une maxime templière le dit à sa manière obscure : « Si tu ne meurs pas de ton vivant, tu mourras en mourant. »

De fait, le message de cette phrase est terrible. Il faut connaître la mort symbolique ici-bas si l’on vivre au-delà.

Qu’est-ce que la « vive mort » ou mort symbolique ?

Ceux qui l’ont connue s’en souviennent. C’est l’enfer d’une rupture amoureuse. C’est se retrouver plus seul qu’un chien du désert, des siècles durant, à hurler à la lune.
C’est vouloir se foutre à l’eau, se pendre et disparaître à jamais de la face de la terre. C’est passer sept longues années sur le gril de l’enfer parce qu’en perdant son ami(e), on a perdu son âme. « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé » Si l’être aimé revient, la vie repartira… mais il ne revient jamais.

Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Et leurs baisers au loin les suivent Comme des soleils révolus. (Louis Aragon)

Aragon le communiste, le matérialiste dialectique, Aragon ne croyait pas à l’âme. L’âme était là quand même. Son amour pour Elsa l’a sauvé. Nous sommes des êtres de lumière, issue de la pure lumière, et nous y retournons par la réunion de nos trois personnes, le corps, l’esprit et le cœur.

L’homme n’est divin que lorsqu’il réalise en lui cette fusion.
Trois personnes en toi, tel est le message.
Devenir dieu, c’est unir ces trois personnes.
Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur.

Voilà le véritable sens de la sainte trinité. Toi et moi. Lui-Elle et eux.
Triples nous sommes devenus, triples nous vivrons à jamais. C’est donc un point capital d’ouvrir son cœur.

Quand vous écoutez quelqu’un, complètement, attentivement, vous n’écoutez pas seulement les mots, mais aussi le sentiment qui s’y associe, vous écoutez le tout, et non une partie. (Jiddu Krishnamurti)

Nous recevons trois personnes en une seule quand nous nous incarnons sur ce plan. Un corps, un cœur et un esprit. Mais c’est à nous qu’il incombe de les mettre en service.
A notre époque, l’ouverture du corps, travail de l’enfant, se fait par la pratique sportive. C’est le minimum souhaitable, mais ça suffit souvent.

L’ouverture de l’esprit se fait par l’école, y compris l’école de la vie, voyages, rencontres, etc. C’est aléatoire, imparfait, mais ça le fait.

Par contre, l’ouverture du cœur n’a rien d’automatique. Elle est représentée par l’arcane VI du Tarot, L’Amoureux. C’est en effet, sur le chemin de vie que nous présentent les arcanes majeurs, la première étape de l’autonomie terrestre.

Arrive ici le point magique où le jeune être choisit pour lui, décide sans ses parents… et souffre seul.La souffrance est la clé de l’ouverture du cœur, tel est l’enseignement de la Tradition. Et la souffrance est toujours le sort de l’Amoureux…

Celles et ceux qui n’ont pas eu le cœur brisé, en pièces, explosé, déchiré, piétiné… ne savent pas ce qu’aimer veut dire. Ils n’ont pas dépassé le stade solitaire de l’ego. Donner sans attendre, pardonner, entendre, et remercier le Vivant.

Oui, remercier, chanter les louanges de cette merveille que nous partageons vous et moi, la Vie, la Lumière et l’Amour. Et souvenons nous que nous n’avons pas toujours été ouverts de ?, il en va de nos apprentissages d’incarnation.
Qui sont trois étiquettes pour le même flacon.
Trois personnes intérieures qui nous composent, c’est à dire corps, esprit, cœur. Nous sommes triples, et nous ne le savons pas. Corps-esprit, entend-on.

C’est compter sans l’ouverture du cœur. Souvenons-nous, le corps s’ouvre avec le sport. L’esprit s’ouvre avec la curiosité.Le cœur, lui, s’ouvre avec le chagrin d’amour.

Il advint qu’un beau soir l’univers se brisa Sur des récifs que les naufrageurs enflammèrent Moi je voyais briller au-dessus de la mer Les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa (Louis Aragon)-

Devenir dieu, c’est unir ses trois personnes. Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur. Voilà le véritable sens de la sainte trinité. « C’est seulement lorsque tu as réuni tes trois personnes en une seule que tu es dieu, c’est alors que tu ne connais pas la mort. »

Ceux qui échouent dans cette mission sacrée vont, après leur mort, rejoindre la lumière où se dissoudra leur âme individuelle. Voilà la seconde mort, la vraie mort, celle de la conscience qui dit “ moi je” .

Pour y échapper à la dissolution, une seule solution : la mort symbolique, la ‘vive mort’, le chagrin d’amour fou qui ouvre le cœur. Comme on l’a compris, cette mort est la vraie naissance.« Qui n’est pas mort de son vivant, mourra en mourant. »

C’est ainsi. La vie n’a qu’une règle, aime. Aime sans attendre d’être aimé. Aime sans compter, aime tes voisins, aime tes ennemis, tes frères, tes rivaux…

Aime d’abord ton pire ennemi, c’est toi-même. Aime-toi, le ciel t’aimera. T’aimer toi-même n’est pas tout te permettre et ne rien assumer. Au contraire. C’est monter à chaque instant le niveau d’exigence et de don.

C’est voir tes progrès avant tes faiblesses. C’est te dire : aime encore et encore, aime toujours d’avantage.On n’aime jamais trop !.

On n’aime jamais assez. Plaisir d’amour ne dure qu’un moment.
Chagrin d’amour dure toute la vie. (Joan Baez)

Namasté ? internet

Ouvrez vos ?

-partage-

L’ouverture du cœur est le préalable obligé de toute vie intérieure, le premier pas vers l’éveil et la complétude.

L’ouverture du cœur se fait par un chagrin d’amour qui déchire à jamais le cœur et le rend apte à aimer.C’est peut-être le cœur qui s’ouvre, baby groove. (Michel Jonasz)

Celui qui n’a jamais aimé ne goûtera pas aux fruits de l’Arbre de Vie.

Et ils sont nombreux, celles et ceux qui n’ont jamais aimé.
Ils peuvent être mariés, elles peuvent être religieuses, ministres ou infirmières, ils et elles s’entourent d’un no human’s land sans tendresse, sans générosité, sans affection.

On les dirait : Cœurs secs. Psychorigides. Calculateurs froids, ils traversent la vie des autres comme un brise-glace dans la banquise. Ils sont seuls, parfois non. Ils vivent en ours ou en tyran domestique.

Ils ne « comprennent » pas les élans d’affection, les câlins, ils critiquent la manie des bisous et des petits cœurs qui fleurissent et les heurtent : à quoi riment toutes ces âneries, se disent-ils.
Quand nous avons affaire à une ou un sans-cœur, dur de lui envoyer de l’amour, dur de lui sourire. Et pourtant…
L’absence de chaleur humaine est communicative, les cœurs se glacent à ce contact glacial et laisse perplexe.

Ces êtres « ressemblent » à des robots. Privés de cœur, ils n’ont pas d’âme, pour ceux qui ne sont plus dans ces schémas bloquants.
Sans s’en douter, ils ont perdu leur chemin ou ne l’ont pas encore trouvé-expérimenté.
Ils risquent aussi de perdre la Vie. Un être « sans cœur » est un être mortel.
Certaines s’étonneront : ne sommes-nous pas tous mortels ?

Oui, un jour ou l’autre, nous quitterons tout notre corps. Mais quitter son corps n’est pas mourir.
J’ai fait ma première sortie astrale consciente à l’âge de 6 ans.

Depuis je sais par expérience que l’on peut vivre hors du corps. La puissance divine qui est en chacun de nous ne limite pas notre existence à ce véhicule de chair et d’os.
Nous avons dans le cœur le ticket pour la vie éternelle. Servons-nous en.

Dans ce cas, pourquoi dire qu’on peut perdre cette Vie ?

Pour une raison bien simple, en vérité : la vie éternelle ne nous est pas acquise, elle se gagne. L’ouverture du coeur est le préalable obligé de toute vie intérieure, la seule clé de la Vie éternelle. Une maxime templière le dit à sa manière obscure : « Si tu ne meurs pas de ton vivant, tu mourras en mourant. »

De fait, le message de cette phrase est terrible. Il faut connaître la mort symbolique ici-bas si l’on vivre au-delà.

Qu’est-ce que la « vive mort » ou mort symbolique ?

Ceux qui l’ont connue s’en souviennent. C’est l’enfer d’une rupture amoureuse. C’est se retrouver plus seul qu’un chien du désert, des siècles durant, à hurler à la lune.
C’est vouloir se foutre à l’eau, se pendre et disparaître à jamais de la face de la terre. C’est passer sept longues années sur le gril de l’enfer parce qu’en perdant son ami(e), on a perdu son âme. « Un seul être vous manque et tout est dépeuplé » Si l’être aimé revient, la vie repartira… mais il ne revient jamais.

Est-ce ainsi que les hommes vivent ? Et leurs baisers au loin les suivent Comme des soleils révolus. (Louis Aragon)

Aragon le communiste, le matérialiste dialectique, Aragon ne croyait pas à l’âme. L’âme était là quand même. Son amour pour Elsa l’a sauvé. Nous sommes des êtres de lumière, issue de la pure lumière, et nous y retournons par la réunion de nos trois personnes, le corps, l’esprit et le cœur.

L’homme n’est divin que lorsqu’il réalise en lui cette fusion.
Trois personnes en toi, tel est le message.
Devenir dieu, c’est unir ces trois personnes.
Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur.

Voilà le véritable sens de la sainte trinité. Toi et moi. Lui-Elle et eux.
Triples nous sommes devenus, triples nous vivrons à jamais. C’est donc un point capital d’ouvrir son cœur.

Quand vous écoutez quelqu’un, complètement, attentivement, vous n’écoutez pas seulement les mots, mais aussi le sentiment qui s’y associe, vous écoutez le tout, et non une partie. (Jiddu Krishnamurti)

Nous recevons trois personnes en une seule quand nous nous incarnons sur ce plan. Un corps, un cœur et un esprit. Mais c’est à nous qu’il incombe de les mettre en service.
A notre époque, l’ouverture du corps, travail de l’enfant, se fait par la pratique sportive. C’est le minimum souhaitable, mais ça suffit souvent.

L’ouverture de l’esprit se fait par l’école, y compris l’école de la vie, voyages, rencontres, etc. C’est aléatoire, imparfait, mais ça le fait.

Par contre, l’ouverture du cœur n’a rien d’automatique. Elle est représentée par l’arcane VI du Tarot, L’Amoureux. C’est en effet, sur le chemin de vie que nous présentent les arcanes majeurs, la première étape de l’autonomie terrestre.

Arrive ici le point magique où le jeune être choisit pour lui, décide sans ses parents… et souffre seul.La souffrance est la clé de l’ouverture du cœur, tel est l’enseignement de la Tradition. Et la souffrance est toujours le sort de l’Amoureux…

Celles et ceux qui n’ont pas eu le cœur brisé, en pièces, explosé, déchiré, piétiné… ne savent pas ce qu’aimer veut dire. Ils n’ont pas dépassé le stade solitaire de l’ego. Donner sans attendre, pardonner, entendre, et remercier le Vivant.

Oui, remercier, chanter les louanges de cette merveille que nous partageons vous et moi, la Vie, la Lumière et l’Amour. Et souvenons nous que nous n’avons pas toujours été ouverts de ?, il en va de nos apprentissages d’incarnation.
Qui sont trois étiquettes pour le même flacon.
Trois personnes intérieures qui nous composent, c’est à dire corps, esprit, cœur. Nous sommes triples, et nous ne le savons pas. Corps-esprit, entend-on.

C’est compter sans l’ouverture du cœur. Souvenons-nous, le corps s’ouvre avec le sport. L’esprit s’ouvre avec la curiosité.Le cœur, lui, s’ouvre avec le chagrin d’amour.

Il advint qu’un beau soir l’univers se brisa Sur des récifs que les naufrageurs enflammèrent Moi je voyais briller au-dessus de la mer Les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa les yeux d’Elsa (Louis Aragon)-

Devenir dieu, c’est unir ses trois personnes. Le moi du corps, le moi de l’esprit, le moi du cœur. Voilà le véritable sens de la sainte trinité. « C’est seulement lorsque tu as réuni tes trois personnes en une seule que tu es dieu, c’est alors que tu ne connais pas la mort. »

Ceux qui échouent dans cette mission sacrée vont, après leur mort, rejoindre la lumière où se dissoudra leur âme individuelle. Voilà la seconde mort, la vraie mort, celle de la conscience qui dit “ moi je” .

Pour y échapper à la dissolution, une seule solution : la mort symbolique, la ‘vive mort’, le chagrin d’amour fou qui ouvre le cœur. Comme on l’a compris, cette mort est la vraie naissance.« Qui n’est pas mort de son vivant, mourra en mourant. »

C’est ainsi. La vie n’a qu’une règle, aime. Aime sans attendre d’être aimé. Aime sans compter, aime tes voisins, aime tes ennemis, tes frères, tes rivaux…

Aime d’abord ton pire ennemi, c’est toi-même. Aime-toi, le ciel t’aimera. T’aimer toi-même n’est pas tout te permettre et ne rien assumer. Au contraire. C’est monter à chaque instant le niveau d’exigence et de don.

C’est voir tes progrès avant tes faiblesses. C’est te dire : aime encore et encore, aime toujours d’avantage.On n’aime jamais trop !.

On n’aime jamais assez. Plaisir d’amour ne dure qu’un moment.
Chagrin d’amour dure toute la vie. (Joan Baez)

Namasté ? internet

Le bas astral

Le bas astral correspond à l’endroit du plan astral où se situent les vibrations les plus basses. C’est-là où convergent les énergies négatives et habitent les êtres évolués – arrierrés. Contrairement à ce que les gens pensent le bas astral est l’œuvre du Créateur.

Mais alors comment est-ce possible que ce soit le Divin qui ait formé l’enfer comme certains le nomment populairement ?

On confond toujours les énergies d’involution avec le mal, ce qui fait que l’on ne comprend plus rien aux histoires du diable et du bon Dieu.

Les énergies d’involution sont nécessaires à la vie tout autant que les énergies d’évolution, ce sont les deux pôles qui permettent l’équilibre, comme le jour et la nuit.

S’il n’y avait que le jour, le soleil finirait par sécher toute la végétation, s’il n’avait que la nuit la photosynthèse ne pourrait pas s’effectuer. Le jour et la nuit créent l’équilibre qui permet la vie sur Terre.
De même les énergies d’évolution et d’involution créent l’équilibre qui permet l’existence de l’Univers.

Ainsi, ici les énergies d’involution sont nécessaires pour créer la matière, déplorablement ce processus fait qu’elles deviennent de plus en plus inconscientes, qu’elles tombent dans l’obscurité.

Que sont les entités du bas astral ?

Elles sont donc de plusieurs natures :

D’une part il y a les entités qui sont là depuis l’instant de la Création, et qui sont en fait les futures âmes de tous les éléments que ce soit de la nature, des minéraux ou de quoi que ce soit de dur, de tangible, de concret. Il ne faut pas toucher à ces entités-là.

C’est le réservoir de la survie de la matière en tant qu’énergie. Sans ses créatures la matière retournerait à son état subtil et ne pourrait pas exister le monde physique que nous connaissons.

Puis il y a le bas astral créé par l’humanité.
Il faut savoir que l’homme, lorsqu’il agit, lorsqu’il pense, lorsqu’il décharge des émotions, il crée une vibration, il crée une forme, ainsi l’homme lui aussi géométrise.

Donc ces entités qui sont dues à l’immaturité dans l’évolution de l’homme et à toutes les actions de l’homme, ne sont pas nées de part une loi nécessaire à la Création.

Pensez aux nettoyages vibratoires  (reiki) et à la médiumnié soignante ?

C’est ce qui est exprimé dans la Bible lorsqu’il est dit : qu’il faudra nettoyer les cieux, avant que l’homme soit nouveau.
C’est ce qui a permis à Jésus de dire que l’homme devait renaître.

Personnellement je le trouve en forme d’allégorie quand la Bible mentionne que Jésus purifia le temple en chassant tous les marchands (Saint Jean 2:13-22)

Pourquoi est-il très important de se couper de ce bas astral ?

La plupart des individus, dans la mesure de leurs vibrations, de leurs dépressions, de leurs maladies ou de leur manque d’évolution, sont plus en rapport avec le bas astral, que quoi que ce soit d’autres.

Ils sont investis par les vibrations de ce bas astral, voire même les entités de ce bas astral, qui les poussent à produire de plus en plus de rayonnements négatifs, voir à s’abîmer aussi de plus en plus dans leurs débauches, ou dans leurs crimes.

Tant qu’il y aura des points d’ancrage pour les entités du bas astral, il y aura pénétration du bas astral dans l’aura de l’humanité, d’où la contagion possible.

Alors que si, comme le dit justement la prière que vous pouvez réciter en début des travaux comme ouverture, « que les portes du mal soit scellées », il ne s’agit pas de claquer la porte au côté obscure.

Que soit scellée la porte du mal, veut dire, que de façon déterminée, soit close la relation du physique avec le bas astral.
Ainsi toute l’origine du mal ou de ce qui assombrit le destin de l’humanité, sera définitivement coupé.

Namasté <3

Altérité… respect ?

Face a un problème la philosophie nous enseigne qu’il n’y a jamais une seule réponse possible, chacun étant prisonnier de sa propre histoire, nos croyances limitantes…

Le mot Altérité devrait être enseigné dès le plus jeune âge.

L’altérité c’est apprendre à accepter que deux croyances opposées ont l’une et l’autre autant d’intérêt et de légitimité…

La source divine nous relie au TOUT.

Namasté <3

Altérité… respect ?

Face a un problème la philosophie nous enseigne qu’il n’y a jamais une seule réponse possible, chacun étant prisonnier de sa propre histoire, nos croyances limitantes…

Le mot Altérité devrait être enseigné dès le plus jeune âge.

L’altérité c’est apprendre à accepter que deux croyances opposées ont l’une et l’autre autant d’intérêt et de légitimité…

La source divine nous relie au TOUT.

Namasté <3

Altérité… respect ?

Face a un problème la philosophie nous enseigne qu’il n’y a jamais une seule réponse possible, chacun étant prisonnier de sa propre histoire, nos croyances limitantes…

Le mot Altérité devrait être enseigné dès le plus jeune âge.

L’altérité c’est apprendre à accepter que deux croyances opposées ont l’une et l’autre autant d’intérêt et de légitimité…

La source divine nous relie au TOUT.

Namasté <3

Altérité… respect ?

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Le mot Altérité devrait être enseigné dès le plus jeune âge.

L’altérité c’est apprendre à accepter que deux croyances opposées ont l’une et l’autre autant d’intérêt et de légitimité…

La source divine nous relie au TOUT.

Namasté <3

Altérité… respect ?

Face a un problème la philosophie nous enseigne qu’il n’y a jamais une seule réponse possible, chacun étant prisonnier de sa propre histoire, nos croyances limitantes…

Le mot Altérité devrait être enseigné dès le plus jeune âge.

L’altérité c’est apprendre à accepter que deux croyances opposées ont l’une et l’autre autant d’intérêt et de légitimité…

La source divine nous relie au TOUT.

Namasté <3

Altérité… respect ?

Face a un problème la philosophie nous enseigne qu’il n’y a jamais une seule réponse possible, chacun étant prisonnier de sa propre histoire, nos croyances limitantes…

Le mot Altérité devrait être enseigné dès le plus jeune âge.

L’altérité c’est apprendre à accepter que deux croyances opposées ont l’une et l’autre autant d’intérêt et de légitimité…

La source divine nous relie au TOUT.

Namasté <3

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Face a un problème la philosophie nous enseigne qu’il n’y a jamais une seule réponse possible, chacun étant prisonnier de sa propre histoire, nos croyances limitantes…

Le mot Altérité devrait être enseigné dès le plus jeune âge.

L’altérité c’est apprendre à accepter que deux croyances opposées ont l’une et l’autre autant d’intérêt et de légitimité…

La source divine nous relie au TOUT.

Namasté <3

Altérité… respect ?

Face a un problème la philosophie nous enseigne qu’il n’y a jamais une seule réponse possible, chacun étant prisonnier de sa propre histoire, nos croyances limitantes…

Le mot Altérité devrait être enseigné dès le plus jeune âge.

L’altérité c’est apprendre à accepter que deux croyances opposées ont l’une et l’autre autant d’intérêt et de légitimité…

La source divine nous relie au TOUT.

Namasté <3

Altérité… respect ?

Face a un problème la philosophie nous enseigne qu’il n’y a jamais une seule réponse possible, chacun étant prisonnier de sa propre histoire, nos croyances limitantes…

Le mot Altérité devrait être enseigné dès le plus jeune âge.

L’altérité c’est apprendre à accepter que deux croyances opposées ont l’une et l’autre autant d’intérêt et de légitimité…

La source divine nous relie au TOUT.

Namasté <3

C’est quoi ce délire ? ©

Merci à vous Ames Lumineuses de me lire, de me suivre.

J’ai l’impression d’être dans la continuité de mon article STOP aux pseudos “nouveaux prophètes, mentors de la nouvelle génération consciente et autres gourous-business”… dans une autre catégorie : LE COACH – cet ami qui sait tout et qui ne vous veut que du bien !

Comme vous le savez, je prone « le partage et la bienveillance », ce qui signifie que j’aime à croire que toute démarche est sincère, loyale et bienveillante… ça y est je vois pointer un sourire en coin ! ne vous moquez pas…

Je ne suis pas nunuche mais j’aime voir le meilleur qui nous compose prendre le dessus sur l’égo, la manipulation etc… bref, nous n’allons pas faire ici une thèse philosophique Le bien vs/ Le côté sombre…

Que vous arrive t’il pour que vous ayez besoin de vous identifier à de prétendus prophètes, mentors ou autres gourous-business?

Avez vous à ce point perdu la foi en vous même ?
Alors que vous êtes un être évolué qui se questionne, qui réfléchit à “aller mieux” à s’améliorer et se projette dans l’avenir au delà de la vie terrestre…

Je vais vous coacher moi et pour zéro euro ! sisi !!!

Vous avez besoin d’y croire de nouveau ?
De voir la vie autrement, plus lumineuse ?

D’avoir du pep’s  – de l’énergie positive ?
Hé bien je vais parler à votre âme… ouvrez bien vos écoutilles,
Attachez votre ceinture , c’est partit !

C’est pour vous : cadeau ? avec bienveillance bien entendu

Je dois avouer que ces dernières semaines je suis sorti de mes gonds à plusieurs reprises, agacées par la prolifération de pseudo COACH en veux-tu en voilà !
Certains sont en totale béatitude, en parle comme des sauveurs, des génies… heu ?! j’ai loupé un épisode là ?

Je ne parlerais surement pas de ceux qui pratiquent une « discipline accompagnante » tel que le Reiki etc…
qui sont dans le partage- la transmission de quelque chose de concret : voilà un bien beau projet – gratitude ?.

Mais plutôt de ceux au parcours flou, qui surfe sur le besoins de grandir de nos âmes et qui ont bien sur senti le filon du business  $$$
On vous appate avec de beaux discours, de belles gueules pour mieux vous vendre vidéos et autres stages bidons!.

J’ai l’esprit d’entreprise mais pas à n’importe quel prix : surtout lorsque l’on vous vend du VENT !

Mon article visent ceux qui se présentent comme COACH SPIRITUEL et ceux qui en font se cachant derrière le titre de COACH DE VIE-COACH DE DEVELOPPEMENT PERSONNEL…

Déjà pour annoncer « guider » les autres, « détenir » les clefs de la connaissance supérieure faut il avoir soi même sacrément fait un travail intérieur- d’élévation, un travail profond et global.

La nouvelle mode « made in USA » de :  « je pense pour toi, je te dis que faire et que penser, j’ai les solutions, je suis ton guide, grace à moi… blablabla » … trop peu pour moi et mon minimum d’intelligence.

Vous me direz certains les voient comme des génies et oublient que ce sont des As de la communication (façade) et du marketing (tout est payant)… REVEILLEZ VOUS !

Alors comme ça on est bluffant, un génie, un guide quant on dit : la guerre c’est pas beau, acceptez d’être heureux , vivez en paix etc…?… là je décroche, trop dégradeant pour moi intellectuellement parlant.

J’étais restée sur l’adage suivant :

Un vrai prophète ou prophétesse ne se nomme jamais ainsi
c’est son ouvrage qui le désigne !

Tout ce qui est bon pour nous est en NOUS
Nous le savons
NOUS avons TOUT en nous pour ascensionner, grandir, évoluer !

Je suis un esprit plutôt éveillé, élevé par ma médiumnité et spiritualité et tout ce manège grottesque, ces vidéos qui pullulent sur le net de pseudo COACH où l’on peut entendre leur slogan « créatrice de bonheur, je détiens la solution et vous la livrerai, prenons le temps de travailler ensemble etc… » me foutent en rogne !

C’est prendre tout un chacun pour un sombre idiot mais surtout qui êtes vous, qu’avez vous fait de votre vie, pour vous présenter comme un guide spirituel ?- vous a t’on jamais évoqué un truc qui s’appelle l’égo ?

Bien sur, j’ai depuis longtemps compris que certains sont  et resteront dans les bénéfices secondaires avec le besoin de ce type de chimère: en se complaignant, en attendant de l’autre une révélation, une solution..tellement plus facile que de travailler sur soi !

Certains resteront dans la facilité, confinés (bloqués dans leur vibration basse) avec des méthodes sectaires bien rôdées jouant sur l’égo et l’effet nombrilique (je suis, j’existe, j’ai un rôle, j’ai un guide, jai trouvé un sens à ma vie etc….)

J’aime à penser qu’il n’est jamais trop tard pour communiquer sur une approche et une vision simplement bienveillante- vers ceux qui s’égarent- surtout ne pas les juger car nous ne faison qu’UN !

Est ce si compliqué  d’admettre que chaque être qui veut aller mieux, n’a nul besoin de GUIDES SPIRITUELS A DEUX BALLES qui ne sont sûrement pas plus initiés que vous -sauf en marketing …
Posez vous les bonnes questions- croyez en vous !
Qu’ont ils changés dans votre vie concrètement ces beaux parleurs ?
Vouloir élever son âme c’est bien mais faut -il conscientiser : donc en son “âme et conscience”.
Ne pas se faire alimenter par intraveineuse de discours prédigérés repiqués à gauche à droite sur le net issus de théories basées sur on ne sait quoi… par de nouveaux petits malins du business coaching et développement personnel

Lisez bien ceci – à garder dans un coin de la tête à chaque fois que vous entendrez le fameux « MOI JE « :

« Maintenant que l’ésotérisme est à la mode, certaines personnes, après avoir lu quelques bouquins qu’elles ont plus ou moins bien compris, se croient capables d’ouvrir une école et d’avoir des disciples !…
Est-ce qu’elles pourront vraiment les éclairer, les aider à se transformer ?
Eh non, car pour pouvoir changer les êtres il faut d’abord s’être changé soi-même. » (Omraan Mikhaël Aïvanhov, « Pensées quotidiennes », Prosveta, p. 160)

L’objectif c’est d’ascensionner votre âme, de manière lumineuse en gardant chevillé au corps que vous êtes une âme qui avez de la valeur – qu’avec votre volonté de faire bien, vous ferez bien … si vous laissez bien sur au vestiaire : l’égo et le besoin de pouvoir.
Cessez de vous dénigrer et de compter sur autrui pour votre salut, votre ascension, votre harmonie et votre alignement (corps-âme- esprit) !!

 

Pourquoi oser cet article ? car je récupère des âmes en errance qui se sont fait lessiver émotionnellement par ces coach à 2 balles, essorées financièrement car RIEN n’est gratuit dites le vous !!! on vous appate, on vous leurre puis vous êtes dans l’engrenage, le besoin de leur avis pour tout et n’importe quoi, bref : aveuglé.

Ces âmes que je récupère en consultation (voyance guidance ou médiumnité soignante) elle sont démollies, doivent ré-apprendre à gérer leur élévation par elle même, dans une autre compréhension des rencontres qui font grandir, des échanges qui produisent réellement du sens.

J’ai grande peine à voir les dégâts profond, l’humiliation de s’être fait berné et parfois le dégôut de la vie de n’avoir finalement que gagné : UNE PERTE D’ARGENT.

Je nous Aime Ames Lumineuses ? , réveillez vous et réagissez, cessez de vous sous-estimer , vivez votre évolution !

Namasté ?

C’est quand tu n’attends plus rien..que tout arrive ;)

J’observe la vie avec tranquillité, désactivant les peurs, les égoïsmes et les idées négatives qui retardent mon chemin.

Mon esprit est ouvert à toutes les choses positives.

Je n’attends rien, mais j’attends tout.
Parce qu’au final, tout finit par arriver. « C’est quand tu n’attends plus rien que tout arrive », avez-vous déjà entendu ce genre de phrase ?

Il est curieux d’analyser les réalités simples qui se cachent derrière ces phrases ou ces expressions de la psychologie populaire. Il est fort probable que plus d’une personne pense que cette idée de «ne rien attendre» renferme une certaine attitude défaitiste de quelqu’un qui se laisse porter par les ficelles des autres et par la force des circonstances.

Cependant, c’est tout le contraire.
Ne rien attendre et laisser les choses se produire quand elles doivent arriver, c’est agir avec équilibre, ouverture et permissivité intérieure.
Jour après jour, nous accumulons généralement de nombreuses attitudes et pensées limitantes, et nous le faisons pratiquement sans même nous en rendre compte…

“Je ne vais pas lui proposer cela car il va me dire non”.
“Mieux vaut que j’essaye un autre jour parce que je vais échouer c’est certain”, “Avec moi ce genre de choses ne se passent jamais bien, alors si c’est pour que ça se passe mal, autant ne même pas essayer…”.

Parfois, nous nous mettons des obstacles sur notre chemin pour empêcher les choses de se produire.

Nous devons être ouverts, ouverts d’esprit et de cœur. Éliminer les attitudes limitantes Commençons par une petite réflexion : si nous ne sommes pas conscients de nos propres attitudes limitantes, nous ne pourrons jamais faire tomber ces murs qui empêchent les choses de se produire.

Pour se rendre compte de toutes ces choses qui «logent» dans notre intérieur, qui nous coupent les ailes dans notre développement et qui réduisent une partie de notre bonheur, nous devons comprendre d’où viennent les attitudes limitantes :

-Notre éducation Une grande partie de ce que nous sommes aujourd’hui provient de toutes ces étapes préalables dans lesquelles nous avons construit un lien avec notre père, notre mère, notre grand-père, notre grand-mère et nos frères et sœurs.
Si ces derniers ne nous offraient pas de sécurité, s’ils critiquaient nos pensées et nos idées, s’ils nous surprotégeaient ou qu’ils ne nous démontraient pas d’affection, tout cela a laissé des traces en nous.

Il est fort probable qu’en gagnant de la maturité, vous essayerez de changer en vous la plupart de ces attitudes limitantes. Les échos d’une enfance traumatique ont généralement pour habitude de nous limiter dans de nombreux aspects.

Ne laissez pas cela se produire. N’arrêtez jamais de faire confiance aux autres et encore moins au fait que tout finira par arriver.

-Les expériences négatives mal gérées La vie n’est pas toujours facile, et selon l’attitude et les stratégies personnelles avec lesquelles nous affrontons les choses, nous obtiendrons tel ou tel apprentissage.
Si votre moitié vous délaisse, ne faîtes jamais l’erreur de penser que vous ne méritez pas d’être aimé.
Affrontez cette douleur avec force, avancez en gardant la tête haute et ouvrez vos espoirs à la vie en osant de nouveau aimer et en acceptant de vous laisser aimer.
Si vous échouez dans un projet, ne baissez pas les bras, et ne vous mettez pas en tête des idées telles que celles qui visent à vous faire croire que vous n’êtes pas capable d’y arriver. Restructurez vos pensées, apprenez de vos erreurs, tirez des leçons et concentrez-vous de nouveau vers ce but.

Parfois, la plupart de ces attitudes limitantes font partie de notre propre personnalité, de nos indécisions, de nos peurs, et du fait que nous fermions des portes sans même nous en rendre compte parce qu’on préfère rester bien tranquille dans notre «cercle de sécurité».

La vie c’est avancer chaque jour un peu plus loin de sa zone de confort.

C’est là-bas que les choses se produisent et que tout arrive. S’autoriser à ne rien attendre mais à rêver un peuIl ne s’agit pas de plus rien attendre du tout, mais de restructurer un peu notre attitude envers la vie, envers nous-mêmes, en autorisant les choses à se produire.

Voici comment :

*Évitez la «vision du tunnel».
Nous l’avons tous déjà vécu au moins une fois. Ce sont ces moments dans lesquels nous nous focalisons sur quelque chose de concret, en perdant la capacité de voir ce qu’il se passe autour de nous.Il se peut que certains jours vous pensiez que rien n’a de solution, que les choses sont «comme elles sont» et qu’il n’y a pas de remède à l’inévitable.

*Désactivez ce genre de pensées. Attention, il ne faut pas non plus adopter un «positivisme aveugle» qui créerait de faux espoirs. Prenez l’air, n’attendez rien mais gardez votre esprit ouvert en observant tout ce qui vous entoure, et laissez-vous porter avec espoir et tranquillité.

Laissez de côté ce que vous ressentez et pensez plutôt à ce dont vous avez besoin. Parfois, les sentiments nous aveuglent et nous empêchent de voir clair.
Il y a des moments où l’amour, par exemple, même s’il nous cause du malheur, il nous enchaine à une relation de laquelle nous ne voulons pas nous «détacher».

Au lieu de vous laisser envahir par vos émotions, demandez-vous plutôt de quoi vous avez besoin.

Avez-vous besoin de liberté ? Avez-vous besoin d’être vous-même ?

Autorisez-vous à être heureux de nouveau. Au final, tout finit par arriver, c’est promis. Notre attitude envers la vie doit toujours être ouverte, tranquille et sûre.
Soyez toujours certain de vos priorités au quotidien et les choses s’enchaineront comme elles étaient censées le faire. À votre rythme.

Namasté Ame Lumineuse 🙂 -internet-

Les 10 commandements paradoxaux « faisons preuve de souplesse ».

FB_IMG_1432811164987.jpg– je partage-
1 Les gens sont déraisonnables, illogiques et égocentriques. Aimez-les quand même.
2. Si vous êtes désintéressé, les gens vous prêteront des motifs égoïstes et calculateurs. Soyez désintéressé quand même.
3. Si vous réussissez, vous gagnerez de faux amis et de vrais ennemis. Réussissez quand même.
4. Le bien que vous faites aujourd’hui sera oublié demain. Faites le bien quand même.
5. L’honnêteté et la franchise vous rendent vulnérable. Soyez honnête et franc quand même.
6. Ceux qui voient grand peuvent être anéantis par les esprits les plus mesquins. Voyez grand quand même.
7. Les gens aiment les petits gens, mais préfèrent suivre les puissants. Luttez pour les petits gens quand même.
8. Ce que vous avez mis des années à bâtir peut être détruit du jour au lendemain. Bâtissez quand même.
9. Les gens ont besoin d’être secourus, mais certains se retourneront contre vous si vous les aidez. Aidez-les quand même.
10. Si vous donnez au monde le meilleur de vous-même, vous risquez d’y laisser des plumes. Donnez le meilleur quand même.
Si vous suivez les Dix commandements paradoxaux, vous serez libre. Ces principes ne relèvent pas du pessimisme.
Dans ce monde de folie, ils figurent une sorte de « déclaration d’indépendance ». Affichez-les comme un rappel permanent de cette prise de position.
À compter de ce jour, faites ce qui vous semble juste et bon, parce que cela revêt désormais un sens. Dès lors que vous agissez selon vos valeurs, que vous pouvez donner une signification à votre existence sans attendre d’approbation extérieure, vous êtes libre.
Libre d’agir en fonction de votre conscience, que les autres vous apprécient ou non.
Libre d’être qui vous êtes vraiment.
Libre de remplir la mission à laquelle vous êtes destiné.
Libre de mener une vie cohérente dans un monde des fois absurde.
Et cette liberté vous procurera le bonheur le plus profond que vous ayez jamais connu.
Namasté Ame Lumineuse 🙂